Le ministre des Sports qui s’est présenté, ce dimanche, à l’Assemblée nationale dans le cadre du projet de budget de l’exercice 2022 de son ministère est revenu sur la violence dans les stades et lors des manifestations sportives. Matar Bâ, qui ne compte pas changer de discours, soutient que c’est une question de société. Pour le ministre, une réflexion doit être entamée avec tous les responsables des mouvements sportifs, de navétanes, et l'ensemble des autres segments de la population pour contre carré ces violences.
« J’ai été interpellé. Mais pour moi, c'est le peuple qui est interpellé. Ce qui se passe dans nos stades, nos manifestations sportives, est regrettable et inacceptable. On ne changera pas de discours. C'est pourquoi on a pris la décision de faire un break pour analyser la situation avec l'ensemble des acteurs », martèle Matar Bâ.
Aux yeux du ministre du Sport, ce n'est pas une question de sport, c'est une question de société cette violence. « Cette violence, elle est physique, verbale. Elle est partout dans nos familles. Si on veut analyser correctement ce qui se passe, il faut retourner vers les familles et renforcer l'éducation de nos enfants. Parce que celui qui quitte son domicile et aller assister à une compétition sportive, s'il y va tout simplement pour se faire plaisir, il n'aura pas le temps de se battre, ou de faire la casse. Nous sommes obligés en tant qu'autorité de prendre des mesures », dit-il.
Mieux, précise M. le Ministre, « Une réflexion doit être entamée avec tous les responsables des mouvements sportifs, des navétanes et l'ensemble des autres segments de la population. Ce n'est pas qu'au niveau du ministère du Sport qu'on peut régler la chose. Quelqu'un qui va dans une maison qui arrache le portefeuille d'une femme ou agresse le chef de famille, ça n'a rien à voir avec le sport. L'ensemble des Sénégalais, nous tous, nous devons nous mettre dans la réflexion qui nous va nous permettre de contre carré ces violences ».
« J’ai été interpellé. Mais pour moi, c'est le peuple qui est interpellé. Ce qui se passe dans nos stades, nos manifestations sportives, est regrettable et inacceptable. On ne changera pas de discours. C'est pourquoi on a pris la décision de faire un break pour analyser la situation avec l'ensemble des acteurs », martèle Matar Bâ.
Aux yeux du ministre du Sport, ce n'est pas une question de sport, c'est une question de société cette violence. « Cette violence, elle est physique, verbale. Elle est partout dans nos familles. Si on veut analyser correctement ce qui se passe, il faut retourner vers les familles et renforcer l'éducation de nos enfants. Parce que celui qui quitte son domicile et aller assister à une compétition sportive, s'il y va tout simplement pour se faire plaisir, il n'aura pas le temps de se battre, ou de faire la casse. Nous sommes obligés en tant qu'autorité de prendre des mesures », dit-il.
Mieux, précise M. le Ministre, « Une réflexion doit être entamée avec tous les responsables des mouvements sportifs, des navétanes et l'ensemble des autres segments de la population. Ce n'est pas qu'au niveau du ministère du Sport qu'on peut régler la chose. Quelqu'un qui va dans une maison qui arrache le portefeuille d'une femme ou agresse le chef de famille, ça n'a rien à voir avec le sport. L'ensemble des Sénégalais, nous tous, nous devons nous mettre dans la réflexion qui nous va nous permettre de contre carré ces violences ».