World Vision a présenté avec ses partenaires locaux ses réalisations dans les domaines du développement économique, de l’agriculture, de la protection et gestion de l’environnement et de la sécurité alimentaire.
Le Conseiller national en plaidoyer à World Vision Sénégal a montré l’importance du panel et les missions de la RNA. « Le panel aujourd’hui consiste en un partage d’expériences selon le Régénération Naturelle Assistée (FMNR) qui permet à des zones qui étaient auparavant arides de régénérer de façon naturelle. Nous avons trouvé que c’est une expérience qu’il faut mettre à l’échelle nationale. Parce que la RNA peut permettre de sécuriser les ressources environnementales, de préserver les moyens d’existences des populations dans des zones réputées vulnérables. Cela a un impacte à tous les niveaux aussi bien dans les ménages que dans les nutritions alimentaires. Parce que vous savez que World Vision travail pour la protection de l’enfant. Il apporte un soutien aux femmes pour développer des activités génératrices de revenus comme dans la transformation des produits locaux, la formation des paysans leaders sur la gestion de la RNA pour restaurer la fertilité des terres cultivables, renforcement des capacités des communautés pour diversifier les opportunités de création de revenus moins dépendantes des aléas climatiques », a souligné Paul Dominique Coréa. Pour qui l’objectif final de World Vision est de faire en sorte que les ménages et les communautés puissent accéder à des ressources suffisantes.
Il ajoute que : « Ces projets sont développés dans les localités de Bambey, Mbirkelan, Kounkané, Vélingara, Kolda et Kédougou. Qui sont nos zones d’interventions. Avec les partenariats, nous comptons multiplier nos programmes ».
Selon Baba Ba, représentant du ministre de l’environnement, Abdoulaye Baldé : « La RNA est une technologie agro-forestière assistée, développée au Sénégal depuis plusieurs années. Mais aujourd’hui, on s’est rendu compte de l’intérêt de technologie, et de l’utilité de sa mise en action. Beaucoup d’acteurs ont intervenu dans ce secteur, notamment World Vision, LEAD, l’ICN, entres autres acteurs. World Vision a jugé nécessaire d’organiser cette rencontre qui a réuni différents acteurs pour discuter en vue de mettre en place une réflexion pour converger vers une mis à l’échelle de cette activité ».
Parlant du changement climatique, le Colonel Baba Bâ a souligné que : « Partout on parle de changement climatique et de sécurité alimentaire. Le Sénégal a des engagements sur le plan international, notamment la convention 4 des Nations Unies sur les changements climatiques. Ce qui fait que tous les deux ans, le Sénégal sort un communiqué pour faire le bilan des émissions de gaz à effet de sert mais aussi la séquestration de Carbonne. D’où l’intérêt de la lutte contre le changement climatique. Cette végétation naturelle, joue un rôle extrêmement important sur la régénération et la confédération des soles. Il y a certains végétaux qui captent même l’azote pour la restituer au sol et améliorer les rendements. Mais aujourd’hui, si on parle de sécurité alimentaire, on parle naturellement de l’augmentation de la production. Il s’y ajoute également dans le cadre de la revégétalisation, l’administration des eaux et forêts, l’ensemble des acteurs dans le cadre des reboisements mettre en place des infrastructures de reboisement », sert-il.
Conseiller au développement des moyens d’équipements, M. Ndour évoque une approche. « Notre stratégie est de voire tous les enfants qui vivent dans des ménages à l’abri de la faim capable de résister au choc. Et pour y arriver, on a quatre objectifs. L’un, concerne la protection des ressources de l’environnement. Comme approche, nous avons développé un projet modèle basé sur la RNA. Il y a 9 ans depuis 2007 que nous intervenons dans les collectivités. L’objectif de la RNA consiste à asseoir une base pour un développement économique. Mais aussi de régler les problèmes d’insécurité alimentaire. Tous les acteurs sont convenus que grâce à la RNA, les sols sont mieux protégés, l’érosion éolienne est freinée et les rendements sont augmentés ».
Selon M. Ndour : «La RNA est une technique d’agroforesterie qui consiste à protéger et gérer les repousses naturelles (pousses) que produisent les souches d’arbres et arbustes dans les champs. Elle est peu onéreuse et contribue à l’amélioration de l’environnement et des conditions de vie des populations rurales ».
A l’en croire, «au Sénégal des études menées par World Vision et l’ISRA dans des champs de mil sous régime RNA et sans RNA ont montré qu’il existe une différence significative entre les deux régimes de l’essai. Le régime avec RNA est supérieur au régime sans RNA pour le nombre des épis récoltés. En régime avec RNA on obtient 767 kg/ha alors qu’en régime sans RNA, la productivité est seulement de 296 kg/ha », a-t-il expliqué.
Le Conseiller national en plaidoyer à World Vision Sénégal a montré l’importance du panel et les missions de la RNA. « Le panel aujourd’hui consiste en un partage d’expériences selon le Régénération Naturelle Assistée (FMNR) qui permet à des zones qui étaient auparavant arides de régénérer de façon naturelle. Nous avons trouvé que c’est une expérience qu’il faut mettre à l’échelle nationale. Parce que la RNA peut permettre de sécuriser les ressources environnementales, de préserver les moyens d’existences des populations dans des zones réputées vulnérables. Cela a un impacte à tous les niveaux aussi bien dans les ménages que dans les nutritions alimentaires. Parce que vous savez que World Vision travail pour la protection de l’enfant. Il apporte un soutien aux femmes pour développer des activités génératrices de revenus comme dans la transformation des produits locaux, la formation des paysans leaders sur la gestion de la RNA pour restaurer la fertilité des terres cultivables, renforcement des capacités des communautés pour diversifier les opportunités de création de revenus moins dépendantes des aléas climatiques », a souligné Paul Dominique Coréa. Pour qui l’objectif final de World Vision est de faire en sorte que les ménages et les communautés puissent accéder à des ressources suffisantes.
Il ajoute que : « Ces projets sont développés dans les localités de Bambey, Mbirkelan, Kounkané, Vélingara, Kolda et Kédougou. Qui sont nos zones d’interventions. Avec les partenariats, nous comptons multiplier nos programmes ».
Selon Baba Ba, représentant du ministre de l’environnement, Abdoulaye Baldé : « La RNA est une technologie agro-forestière assistée, développée au Sénégal depuis plusieurs années. Mais aujourd’hui, on s’est rendu compte de l’intérêt de technologie, et de l’utilité de sa mise en action. Beaucoup d’acteurs ont intervenu dans ce secteur, notamment World Vision, LEAD, l’ICN, entres autres acteurs. World Vision a jugé nécessaire d’organiser cette rencontre qui a réuni différents acteurs pour discuter en vue de mettre en place une réflexion pour converger vers une mis à l’échelle de cette activité ».
Parlant du changement climatique, le Colonel Baba Bâ a souligné que : « Partout on parle de changement climatique et de sécurité alimentaire. Le Sénégal a des engagements sur le plan international, notamment la convention 4 des Nations Unies sur les changements climatiques. Ce qui fait que tous les deux ans, le Sénégal sort un communiqué pour faire le bilan des émissions de gaz à effet de sert mais aussi la séquestration de Carbonne. D’où l’intérêt de la lutte contre le changement climatique. Cette végétation naturelle, joue un rôle extrêmement important sur la régénération et la confédération des soles. Il y a certains végétaux qui captent même l’azote pour la restituer au sol et améliorer les rendements. Mais aujourd’hui, si on parle de sécurité alimentaire, on parle naturellement de l’augmentation de la production. Il s’y ajoute également dans le cadre de la revégétalisation, l’administration des eaux et forêts, l’ensemble des acteurs dans le cadre des reboisements mettre en place des infrastructures de reboisement », sert-il.
Conseiller au développement des moyens d’équipements, M. Ndour évoque une approche. « Notre stratégie est de voire tous les enfants qui vivent dans des ménages à l’abri de la faim capable de résister au choc. Et pour y arriver, on a quatre objectifs. L’un, concerne la protection des ressources de l’environnement. Comme approche, nous avons développé un projet modèle basé sur la RNA. Il y a 9 ans depuis 2007 que nous intervenons dans les collectivités. L’objectif de la RNA consiste à asseoir une base pour un développement économique. Mais aussi de régler les problèmes d’insécurité alimentaire. Tous les acteurs sont convenus que grâce à la RNA, les sols sont mieux protégés, l’érosion éolienne est freinée et les rendements sont augmentés ».
Selon M. Ndour : «La RNA est une technique d’agroforesterie qui consiste à protéger et gérer les repousses naturelles (pousses) que produisent les souches d’arbres et arbustes dans les champs. Elle est peu onéreuse et contribue à l’amélioration de l’environnement et des conditions de vie des populations rurales ».
A l’en croire, «au Sénégal des études menées par World Vision et l’ISRA dans des champs de mil sous régime RNA et sans RNA ont montré qu’il existe une différence significative entre les deux régimes de l’essai. Le régime avec RNA est supérieur au régime sans RNA pour le nombre des épis récoltés. En régime avec RNA on obtient 767 kg/ha alors qu’en régime sans RNA, la productivité est seulement de 296 kg/ha », a-t-il expliqué.