Le Premier Ministre du Sénégal, Me Souleymane Ndéné Ndiaye a estimé que «les réponses conjoncturelles apportées aux crises économiques ont coûté à nos finances publiques, entre 2006 et 2008, un montant de 374 milliards, sous forme de subventions directes et indirectes». Le chef du gouvernement qui présidait le lancement du processus de formulation du document de politique économique du Sénégal a indiqué que «ces efforts ont été consentis, sur directives du chef de l’Etat, afin de soutenir le pouvoir d’achat des ménages et atténuer les effets des chocs exogènes sur le panier de la ménagère et sur les entreprises».
Me Souleymane Ndéné Ndiaye de reconnaitre: «la hausse brutale du prix du pétrole qui a atteint un niveau jamais égalé de 147 Dollars le baril de pétrole en juillet 2008 et celle généralisée des prix des produits alimentaires, ont durement éprouvé les pays importateurs de produits pétroliers et alimentaires comme le nôtre».
Selon lui, pour faire face à cette situation, le gouvernement a procédé à un recentrage de sa politique de développement autour des priorités actuelles, pour une meilleure prise en charge des besoins.
Même si le chemin parcouru est certes jalonné de progrès bien visibles, le Premier Ministre d’avouer qu’«il y a encore beaucoup à faire, au regard de l’acuité de la demande sociale».
Pour lui, les résultats obtenus, l’ont été dans un contexte marqué au cours de ces dernières années par une conjoncture mondiale défavorable, avec une flambée des prix sans précédent, des hydrocarbures et des produits alimentaires.
Me Souleymane Ndéné Ndiaye de reconnaitre: «la hausse brutale du prix du pétrole qui a atteint un niveau jamais égalé de 147 Dollars le baril de pétrole en juillet 2008 et celle généralisée des prix des produits alimentaires, ont durement éprouvé les pays importateurs de produits pétroliers et alimentaires comme le nôtre».
Selon lui, pour faire face à cette situation, le gouvernement a procédé à un recentrage de sa politique de développement autour des priorités actuelles, pour une meilleure prise en charge des besoins.
Même si le chemin parcouru est certes jalonné de progrès bien visibles, le Premier Ministre d’avouer qu’«il y a encore beaucoup à faire, au regard de l’acuité de la demande sociale».
Pour lui, les résultats obtenus, l’ont été dans un contexte marqué au cours de ces dernières années par une conjoncture mondiale défavorable, avec une flambée des prix sans précédent, des hydrocarbures et des produits alimentaires.
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