La gestion des ressources humaines constitue un réel problème pour la plupart des pays d’Afrique. Une raison suffisante pour le Réseau des Hôpitaux d’Afrique, de l’Océan indien et des Caraïbes (RESHAOC) de se pencher sur la question en organisant, ce mardi 16 juin, la 9e rencontre hospitalière qui porte sur «la gestion des ressources humaines à l’hôpital». Au cours de ces journées de réflexion, la question de la fuite des cerveaux sera entre autres abordé.
Le Colonel Massamba Diop qui est le Président du (RESHAOC) a fait savoir que: «nous avons des pays où les ressources humaines ont été bien formées, bien qualifiées et qu’on a perdu parce qu’ils ont été aspirées vers d’autres cieux, c’est la suite de la fuite des cerveaux». Il a ainsi tonné: «on voit des médecins, des personnels para médicaux, des infirmiers etc. qui ont subis des formations dans notre pays et qui ont coûtés chers, plusieurs années de dures labeurs et qui au terminus vont monnayer leur talent dans d’autres horizons».
Il a expliqué qu’: «il y a des qualifications qui manquent et il y a de plus en plus des problèmes de santé qui se posent, qui deviennent de plus en plus compliqués, fréquents et pour lesquels, il faut trouver des solutions». Selon lui, la rencontre va permettre de trouver des voies et moyens pour encourager les gens à rester, essayer de les fidéliser, de les motiver, de les satisfaire pour qu’ils puissent rester là. Parce qu’on sait souvent que les gens qui partent c’est pour l’argent.
Le Secrétaire exécutif du RESHAOC, Idrissou Abdoulaye a, en outre, indiqué que: «le RESHAOC se veut un creuset dynamique de concertation et d’échanges fructueux entre les hôpitaux des pays membres. C’est une initiative qui vise entre autre objectif la motivation du personnel sans laquelle la mise en œuvre de toute politique de modernisation de nos systèmes sanitaires actuels est vouée à l’échec».
Le Colonel Massamba Diop qui est le Président du (RESHAOC) a fait savoir que: «nous avons des pays où les ressources humaines ont été bien formées, bien qualifiées et qu’on a perdu parce qu’ils ont été aspirées vers d’autres cieux, c’est la suite de la fuite des cerveaux». Il a ainsi tonné: «on voit des médecins, des personnels para médicaux, des infirmiers etc. qui ont subis des formations dans notre pays et qui ont coûtés chers, plusieurs années de dures labeurs et qui au terminus vont monnayer leur talent dans d’autres horizons».
Il a expliqué qu’: «il y a des qualifications qui manquent et il y a de plus en plus des problèmes de santé qui se posent, qui deviennent de plus en plus compliqués, fréquents et pour lesquels, il faut trouver des solutions». Selon lui, la rencontre va permettre de trouver des voies et moyens pour encourager les gens à rester, essayer de les fidéliser, de les motiver, de les satisfaire pour qu’ils puissent rester là. Parce qu’on sait souvent que les gens qui partent c’est pour l’argent.
Le Secrétaire exécutif du RESHAOC, Idrissou Abdoulaye a, en outre, indiqué que: «le RESHAOC se veut un creuset dynamique de concertation et d’échanges fructueux entre les hôpitaux des pays membres. C’est une initiative qui vise entre autre objectif la motivation du personnel sans laquelle la mise en œuvre de toute politique de modernisation de nos systèmes sanitaires actuels est vouée à l’échec».
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