Le 24 mars 2024 marque l’accession de Bassirou Diomaye Faye à la présidence, et un an après, son bilan dans le domaine du sport se distingue par plusieurs réformes. Dès son arrivée au pouvoir, il a esquissé les grandes lignes de la « nouvelle politique sportive du Sénégal », axée sur un financement structuré des disciplines sportives et des compétitions de haut niveau.
L’un des premiers chantiers a été la promotion du sport dans les écoles et universités à travers la relance des compétitions scolaires et universitaires. En juin 2024, la ministre des Sports, Khady Diène Gaye, a installé une commission chargée de réviser la charte du sport, qui date de 1984, et lancé la Fédération Sénégalaise du Sport Scolaire (F3S). Un projet de loi visant à codifier le sport a également été annoncé.
Par ailleurs, la restructuration du mouvement « Navétanes » a donné lieu à 13 recommandations majeures, incluant un renforcement de la sécurité lors des compétitions et une meilleure formation des cadres administratifs et techniques.
Concernant la lutte, des mesures ont été prises pour lutter contre la violence, notamment en avançant le début des grands combats à 18h30 afin de faciliter la sécurisation des sites.
Diplomatie sportive à la déroute
Sur le plan financier, la gestion des primes des athlètes a été réformée, avec un paiement désormais effectué directement par le Trésor public. Toutefois, une décision a suscité des débats : l’arrêt du financement des clubs engagés dans les compétitions africaines, les ressources étant désormais réservées aux équipes nationales.
La diplomatie sportive, en revanche, a connu des échecs notables, avec la défaite d’Augustin Senghor au Conseil de la FIFA et celle de Seydina Omar Diagne au poste de secrétaire général de l’Association des Comités Nationaux Olympiques Africains (ACNOA).
Enfin, à un peu plus d’un an des Jeux Olympiques de la Jeunesse Dakar 2026, le Sénégal accélère sa préparation pour accueillir cet événement inédit en Afrique, avec plusieurs réunions et un Conseil interministériel pour évaluer l’avancement des travaux.
En conclusion, cette première année de gouvernance a été marquée par des réformes et un travail de fond, mais aucune initiative majeure en matière d’infrastructures sportives n’a encore été concrétisée.
L’un des premiers chantiers a été la promotion du sport dans les écoles et universités à travers la relance des compétitions scolaires et universitaires. En juin 2024, la ministre des Sports, Khady Diène Gaye, a installé une commission chargée de réviser la charte du sport, qui date de 1984, et lancé la Fédération Sénégalaise du Sport Scolaire (F3S). Un projet de loi visant à codifier le sport a également été annoncé.
Par ailleurs, la restructuration du mouvement « Navétanes » a donné lieu à 13 recommandations majeures, incluant un renforcement de la sécurité lors des compétitions et une meilleure formation des cadres administratifs et techniques.
Concernant la lutte, des mesures ont été prises pour lutter contre la violence, notamment en avançant le début des grands combats à 18h30 afin de faciliter la sécurisation des sites.
Diplomatie sportive à la déroute
Sur le plan financier, la gestion des primes des athlètes a été réformée, avec un paiement désormais effectué directement par le Trésor public. Toutefois, une décision a suscité des débats : l’arrêt du financement des clubs engagés dans les compétitions africaines, les ressources étant désormais réservées aux équipes nationales.
La diplomatie sportive, en revanche, a connu des échecs notables, avec la défaite d’Augustin Senghor au Conseil de la FIFA et celle de Seydina Omar Diagne au poste de secrétaire général de l’Association des Comités Nationaux Olympiques Africains (ACNOA).
Enfin, à un peu plus d’un an des Jeux Olympiques de la Jeunesse Dakar 2026, le Sénégal accélère sa préparation pour accueillir cet événement inédit en Afrique, avec plusieurs réunions et un Conseil interministériel pour évaluer l’avancement des travaux.
En conclusion, cette première année de gouvernance a été marquée par des réformes et un travail de fond, mais aucune initiative majeure en matière d’infrastructures sportives n’a encore été concrétisée.
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