Devant les députés ce vendredi, Abdoulaye Diouf Sarr a indiqué que le Sénégal est en train de prendre toutes les dispositions de prévention et de protection au niveau des frontières, mais aussi les dispositions de prise en charge pour que si jamais une vague lié au variant Omicron se déclare, l’on puisse engager une riposte efficace.
« Depuis le 25 novembre, il s’est signalé en Afrique du Sud le variant appelé Omicron. Comme tous les pays du monde le Sénégal se prépare aussi. Parce que le monde est un village planétaire. Quand un variant se déclare dans un pays, il faut l’attendre un peu partout. Le Sénégal est en train de prendre toutes les dispositions de prévention et de protection au niveau des frontières, mais aussi les dispositions de prise en charge pour que si jamais nous avons une vague liée à ce variant Omicron que l’on puisse engager une riposte efficace. Il faut toujours se tenir prêt », dit-il.
Le ministre de la Santé et de l’Action Sociale se réjouit également de l’augmentation de son budget d’année en année et évoque « la corrélation qu’il y a avec les résultats importants produit par son ministère ».
« J’aimerais me réjouir de la tenue de ces travaux qui montrent l’ambition que le chef de l’Etat a pour la Santé et l’Action Sociale. D’un budget de 216 milliards F CFA nous sommes passés cette année à 235 996 717 777 de F CFA. Ce qui prouve que d’année en année, le chef de l’Etat augmente le budget de la santé et de l’action sociale. C’est tout à fait corrélé avec les résultats importants que nous sommes en train d’avoir dans le secteur de la santé et de l’action sociale. Surtout dans un contexte de pandémie », a indiqué Abdoulaye Diouf Sarr.
« Bientôt les premières transplantations d’organe au Sénégal »
Parlant de la question des anesthésiasses, le ministre note la fuite des cerveaux et soutient que très bientôt le Sénégal aura les premières transplantations dans le pays. « Cette question n’est pas le propre des Anesthésistes. C’est une question qui concerne de manière générale la fuite des cerveaux. Que ce soit les anesthésistes et d’autres spécialistes, le Sénégal va tout mettre en œuvre pour renforcer la prise en charge en termes de motivation de ces spécialistes pour qu’ils restent dans le pays. Mais nous sommes conscientes que les anesthésistes constituent une spécialité extrêmement rare dans le monde », a-t-il affirmé.
Avant de poursuivre: « Le Sénégal à déjà voté la loi sur la transplantation. Et le décret d’application est déjà pris. Il reste au comité national du don et de la transplantation de mettre en œuvre et d’installer le cahier de charge pour que les hôpitaux puissent se conformer. Ce qui a été fait. Les hôpitaux et le comité national sont en train de travailler à ça. Et très bientôt nous auront les premières transplantations dans le pays ».
« Depuis le 25 novembre, il s’est signalé en Afrique du Sud le variant appelé Omicron. Comme tous les pays du monde le Sénégal se prépare aussi. Parce que le monde est un village planétaire. Quand un variant se déclare dans un pays, il faut l’attendre un peu partout. Le Sénégal est en train de prendre toutes les dispositions de prévention et de protection au niveau des frontières, mais aussi les dispositions de prise en charge pour que si jamais nous avons une vague liée à ce variant Omicron que l’on puisse engager une riposte efficace. Il faut toujours se tenir prêt », dit-il.
Le ministre de la Santé et de l’Action Sociale se réjouit également de l’augmentation de son budget d’année en année et évoque « la corrélation qu’il y a avec les résultats importants produit par son ministère ».
« J’aimerais me réjouir de la tenue de ces travaux qui montrent l’ambition que le chef de l’Etat a pour la Santé et l’Action Sociale. D’un budget de 216 milliards F CFA nous sommes passés cette année à 235 996 717 777 de F CFA. Ce qui prouve que d’année en année, le chef de l’Etat augmente le budget de la santé et de l’action sociale. C’est tout à fait corrélé avec les résultats importants que nous sommes en train d’avoir dans le secteur de la santé et de l’action sociale. Surtout dans un contexte de pandémie », a indiqué Abdoulaye Diouf Sarr.
« Bientôt les premières transplantations d’organe au Sénégal »
Parlant de la question des anesthésiasses, le ministre note la fuite des cerveaux et soutient que très bientôt le Sénégal aura les premières transplantations dans le pays. « Cette question n’est pas le propre des Anesthésistes. C’est une question qui concerne de manière générale la fuite des cerveaux. Que ce soit les anesthésistes et d’autres spécialistes, le Sénégal va tout mettre en œuvre pour renforcer la prise en charge en termes de motivation de ces spécialistes pour qu’ils restent dans le pays. Mais nous sommes conscientes que les anesthésistes constituent une spécialité extrêmement rare dans le monde », a-t-il affirmé.
Avant de poursuivre: « Le Sénégal à déjà voté la loi sur la transplantation. Et le décret d’application est déjà pris. Il reste au comité national du don et de la transplantation de mettre en œuvre et d’installer le cahier de charge pour que les hôpitaux puissent se conformer. Ce qui a été fait. Les hôpitaux et le comité national sont en train de travailler à ça. Et très bientôt nous auront les premières transplantations dans le pays ».
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