Le Dr Abdourahmane Diouf est d'avis que l'appel au dialogue du chef de l'Etat sénégalais n'est pas sincère. Le porte-parole du Rewmi appelle le Président Macky Sall a régler le problème du statut du Chef de l'opposition, qui selon lui est formellement consacré par la Constitution depuis le vote du dernier référendum.
"Dans la Constitution, le chef de l'Etat a un statut, le Premier ministre a un statut et le chef de l'opposition a également un statut; Aujourd'hui, si vous appelez à un dialogue politique national, c'est le chef de l'Opposition qui devrait le diriger? Pas parce que le président de la République le veut, mais parce que cela ressort de notre Constitution", dit-il avant d'ajouter : "le Président agit comme si l'existence de ce statut du chef de l'Opposition dépendait de son bon vouloir. Et pourtant le chef de l'opposition bénéficie de la même légalité constitutionnelle que le président de la République".
"Dans la Constitution, le chef de l'Etat a un statut, le Premier ministre a un statut et le chef de l'opposition a également un statut; Aujourd'hui, si vous appelez à un dialogue politique national, c'est le chef de l'Opposition qui devrait le diriger? Pas parce que le président de la République le veut, mais parce que cela ressort de notre Constitution", dit-il avant d'ajouter : "le Président agit comme si l'existence de ce statut du chef de l'Opposition dépendait de son bon vouloir. Et pourtant le chef de l'opposition bénéficie de la même légalité constitutionnelle que le président de la République".
Autres articles
-
15e Législature : voici la liste complète des députés élus
-
Le Président Diomaye Faye ambitionne de faire du Sénégal un modèle en matière de gestion de l'eau et d’assainissement
-
Plainte contre Arcop : la Cour suprême déboute l'Aser
-
Assemblée nationale : Aliou Ndao promet un "nouveau type de Parlement" au peuple
-
"Le pool judiciaire financier, trop limité pour réussir", (Aliou Ndao, ancien procureur)