Le rapport a identifié sur les leçons apprises des facteurs favorables à une bonne absorption des crédits sur ressources extérieures. Parmi ces facteurs favorables en voici quelques : « un personnel de qualité engagé à la cause, une gestion de proximité et un suivi régulier, une plus grande concertation entre les partenaires au développement et partie nationale ».
Par contre il a aussi présenté des facteurs qui ont des effets négatifs sur l’exécution des projets réduisant ainsi le niveau d’absorption des crédits. Le rapport a déploré « le manque de coordination et de leadership de certains ministères », aussi « les retards consentis dans la libération des fonds de contrepartie ».
L’étude après avoir montré les différents problèmes rencontrés avec l’absorption des crédits sur ressources extérieures a dégagé des recommandations pour la partie nationale comme pour les partenaires au développement.
A l’Etat le rapport a demandé d’ « affirmer davantage le leadership de la partie nationale à travers une meilleure coordination des interventions ». En plus les auteurs du rapport on suggéré aux autorités sénégalaise d’ « assurer une meilleure prise de la question de la contrepartie ».
Quant aux partenaires aux développements, le rapport a demandé de « privilégier les recours aux procédures responsabilisant la partie nationale (appui budgétaire et modalité d’exécution nationale) ». Ensuite il les a conseillé de « poursuivre les reformes sur les avis Non objections (ANO), notamment en relevant, de manière substantielle, le seuil pour le quel l’ANO est exigé si celui-ci ne peut être supprimé »
Par contre il a aussi présenté des facteurs qui ont des effets négatifs sur l’exécution des projets réduisant ainsi le niveau d’absorption des crédits. Le rapport a déploré « le manque de coordination et de leadership de certains ministères », aussi « les retards consentis dans la libération des fonds de contrepartie ».
L’étude après avoir montré les différents problèmes rencontrés avec l’absorption des crédits sur ressources extérieures a dégagé des recommandations pour la partie nationale comme pour les partenaires au développement.
A l’Etat le rapport a demandé d’ « affirmer davantage le leadership de la partie nationale à travers une meilleure coordination des interventions ». En plus les auteurs du rapport on suggéré aux autorités sénégalaise d’ « assurer une meilleure prise de la question de la contrepartie ».
Quant aux partenaires aux développements, le rapport a demandé de « privilégier les recours aux procédures responsabilisant la partie nationale (appui budgétaire et modalité d’exécution nationale) ». Ensuite il les a conseillé de « poursuivre les reformes sur les avis Non objections (ANO), notamment en relevant, de manière substantielle, le seuil pour le quel l’ANO est exigé si celui-ci ne peut être supprimé »
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