Le Réseau des Parlementaires pour la Promotion de la Sécurité Routière (REPSER) a exprimé sa profonde peine suite à l'accident mortel survenu le vendredi 26 avril 2024, sur la route nationale n°1 (RN 1), entre Yamong et Mbadianène, dans le département de Koungheul. Dans un communiqué, le REPSER, dans un appel vibrant, invite les usagers de la route, notamment les transporteurs, à observer scrupuleusement les dispositions du Code de la Route.
« En dépit du développement et de la qualité du réseau routier et autoroutier, notre pays continue de subir des accidents tragiques », lit-on dans le communiqué.
Entre 2017 et 2020, près de 3000 décès ont été causés par des accidents de la circulation. Sur la période 2021-2022, 39 381 accidents routiers ont été répertoriés, entraînant 1 200 pertes de vie.
L'année 2023 est marquée par l'accident de Sikilo, dans la région de Kaffrine, un événement dévastateur avec 40 morts et de nombreux blessés graves. Les chiffres alarmants de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dévoilent une réalité troublante : près de 27 000 personnes sont victimes d'accidents sur la voie publique chaque année au Sénégal, dont 11 000 à Dakar.
Le communiqué met en lumière le parc automobile du pays, estimé à environ 650 000 véhicules pour une population de plus de 18 millions d'habitants. Cette disproportion accentue les défis en matière de sécurité routière. De plus, l'économie nationale subit une perte estimée à 2% du PIB en raison des accidents de la route.
Face à cette situation préoccupante, le Réseau en appelle au sens des responsabilités et à la prudence de chacun pour faire des routes des lieux de vie, et non de tragédie. Il exhorte également le gouvernement à appliquer rigoureusement les sanctions prévues dans le Code de la Route et à mettre en œuvre rapidement le dispositif de permis à points afin de réduire de manière significative le taux d'accidents mortels.
A noter que le bilan provisoire de l’accident Yamong fait état de 14 morts et plus d’une cinquantaine de blessés, sans oublier les dommages matériels considérables.
« En dépit du développement et de la qualité du réseau routier et autoroutier, notre pays continue de subir des accidents tragiques », lit-on dans le communiqué.
Entre 2017 et 2020, près de 3000 décès ont été causés par des accidents de la circulation. Sur la période 2021-2022, 39 381 accidents routiers ont été répertoriés, entraînant 1 200 pertes de vie.
L'année 2023 est marquée par l'accident de Sikilo, dans la région de Kaffrine, un événement dévastateur avec 40 morts et de nombreux blessés graves. Les chiffres alarmants de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dévoilent une réalité troublante : près de 27 000 personnes sont victimes d'accidents sur la voie publique chaque année au Sénégal, dont 11 000 à Dakar.
Le communiqué met en lumière le parc automobile du pays, estimé à environ 650 000 véhicules pour une population de plus de 18 millions d'habitants. Cette disproportion accentue les défis en matière de sécurité routière. De plus, l'économie nationale subit une perte estimée à 2% du PIB en raison des accidents de la route.
Face à cette situation préoccupante, le Réseau en appelle au sens des responsabilités et à la prudence de chacun pour faire des routes des lieux de vie, et non de tragédie. Il exhorte également le gouvernement à appliquer rigoureusement les sanctions prévues dans le Code de la Route et à mettre en œuvre rapidement le dispositif de permis à points afin de réduire de manière significative le taux d'accidents mortels.
A noter que le bilan provisoire de l’accident Yamong fait état de 14 morts et plus d’une cinquantaine de blessés, sans oublier les dommages matériels considérables.
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