Les organisations de défense des droits de l'homme au chevet de Bibo Bourgi. En effet, la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH), Amnesty Internationale Section Sénégal et la Rencontre Africaine de Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) pas du tout contents de la décision de la Cour de Répression de l'Enrichissement Illicite (CREI) de maintenir le témoin-clé du procès de Karim au Sénégal. Selon ces structures, le traitement des différents avis des spécialistes consultants ou consultés, a fait ressortir la nécessité qui induit inéluctablement à une prise en charge médicale urgente en l’état et manifestement incompatible avec toute comparution devant un tribunal.
Selon le communiqué conjointe, au regard des dispositions pertinentes des Conventions internationales signées et ratifiées par l'Etat du Sénégal et reprises à l'article 07, alinéa 1er de la Constitution de 2001, «la personne humaine est sacrée. Elle est inviolable. L'Etat a l'obligation de la respecter et de la protéger». Me Assane Dioma Ndiaye et Cie insistent en effet sur le fait que «le droit à la santé est également garanti comme corollaire au droit à la vie». La LSDH, Amnesty internationale section Sénégal et la RADDHO «considèrent par conséquent, qu'au-delà de la personne de Bibo Khalil Bourgi, aussi bien le droit à la vie que le droit à la santé ne sauraient être sacrifiés sous l'autel d'impératifs d'une procédure judiciaire ou d'enjeux quelconques». Mieux, «il s'agit d'un combat de principe qui transcende les causes circonstancielles», servent-ils.
Selon le communiqué conjointe, au regard des dispositions pertinentes des Conventions internationales signées et ratifiées par l'Etat du Sénégal et reprises à l'article 07, alinéa 1er de la Constitution de 2001, «la personne humaine est sacrée. Elle est inviolable. L'Etat a l'obligation de la respecter et de la protéger». Me Assane Dioma Ndiaye et Cie insistent en effet sur le fait que «le droit à la santé est également garanti comme corollaire au droit à la vie». La LSDH, Amnesty internationale section Sénégal et la RADDHO «considèrent par conséquent, qu'au-delà de la personne de Bibo Khalil Bourgi, aussi bien le droit à la vie que le droit à la santé ne sauraient être sacrifiés sous l'autel d'impératifs d'une procédure judiciaire ou d'enjeux quelconques». Mieux, «il s'agit d'un combat de principe qui transcende les causes circonstancielles», servent-ils.
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