René Capain Bassene souffre énormément depuis le jeudi 22 novembre 2024, après sa sortie prématurée de l’hôpital de la Paix de Ziguinchor (Sud), où il avait été admis pour une tympanoplastie (opération à l’oreille).
Malgré l’alerte lancée par sa famille, René Capain a été laissé à lui-même dans un état préoccupant à la Maison d'Arrêt et de Correction (MAC) de Ziguinchor. Cette situation a poussé l’infirmier de la prison à appeler le médecin pour l’informer de l’état du patient depuis sa sortie de l’hôpital.
Tentant de se dédouaner de toute responsabilité, le médecin en charge du dossier a d’abord affirmé ne pas savoir que René Capain Bassene avait quitté l’hôpital pour retourner à sa cellule. Ensuite, bien qu’elle ait été informée par l’infirmier de la situation critique du patient, elle a demandé qu’il soit ramené à l’hôpital lundi 25 novembre, soit trois jours après, en pleine connaissance de son état préoccupant, dû aux injections anesthésiques administrées, sans considérer les risques posés par les conditions carcérales sur son rétablissement.
Ce lundi 25 novembre, René Capain Bassene a été conduit à l’hôpital comme le médecin l’avait demandé. Il a confié à sa famille son intention de saisir la justice à propos de cet incident et a exprimé son refus d’être opéré à nouveau dans cet établissement, par ces praticiens. « J’ai rencontré le médecin en charge de mon dossier ce matin. C’est une femme. Elle m’a dit qu’elle ne savait pas que j’avais quitté l’hôpital jeudi, qu’elle n’en a été informée que lorsque l’infirmier de la prison l’a appelée pour lui signaler mon état. Elle a voulu procéder à d’autres consultations et scanners, mais je me suis opposé. Je ne veux plus être suivi par ces gens après le sabotage que j’ai subi, quitte à en mourir à cause de cette souffrance infligée par les gendarmes. Je ne vais pas en rester là, je vais saisir la justice. J’ai vécu un traumatisme et personne ne veut assumer la responsabilité. Je ne me laisserai pas sacrifier une seconde fois », a déclaré René Capain Bassene à sa famille.
À ce jour, René Capain Bassene reste toujours affaibli, bien que son état se soit légèrement amélioré. Cependant, la famille continue d’attendre des éclaircissements sur ce qui s’est réellement passé au bloc opératoire. Pourquoi la tympanoplastie n’a-t-elle pas été réalisée ? Pourquoi l’opération a-t-elle été suspendue en cours ? S’agit-il d’un sabotage ? D’une tentative de manipulation pour l’amadouer ? René Capain Bassene n’avait jamais été dans un tel état auparavant, et sa famille exige des explications.
Malgré l’alerte lancée par sa famille, René Capain a été laissé à lui-même dans un état préoccupant à la Maison d'Arrêt et de Correction (MAC) de Ziguinchor. Cette situation a poussé l’infirmier de la prison à appeler le médecin pour l’informer de l’état du patient depuis sa sortie de l’hôpital.
Tentant de se dédouaner de toute responsabilité, le médecin en charge du dossier a d’abord affirmé ne pas savoir que René Capain Bassene avait quitté l’hôpital pour retourner à sa cellule. Ensuite, bien qu’elle ait été informée par l’infirmier de la situation critique du patient, elle a demandé qu’il soit ramené à l’hôpital lundi 25 novembre, soit trois jours après, en pleine connaissance de son état préoccupant, dû aux injections anesthésiques administrées, sans considérer les risques posés par les conditions carcérales sur son rétablissement.
Ce lundi 25 novembre, René Capain Bassene a été conduit à l’hôpital comme le médecin l’avait demandé. Il a confié à sa famille son intention de saisir la justice à propos de cet incident et a exprimé son refus d’être opéré à nouveau dans cet établissement, par ces praticiens. « J’ai rencontré le médecin en charge de mon dossier ce matin. C’est une femme. Elle m’a dit qu’elle ne savait pas que j’avais quitté l’hôpital jeudi, qu’elle n’en a été informée que lorsque l’infirmier de la prison l’a appelée pour lui signaler mon état. Elle a voulu procéder à d’autres consultations et scanners, mais je me suis opposé. Je ne veux plus être suivi par ces gens après le sabotage que j’ai subi, quitte à en mourir à cause de cette souffrance infligée par les gendarmes. Je ne vais pas en rester là, je vais saisir la justice. J’ai vécu un traumatisme et personne ne veut assumer la responsabilité. Je ne me laisserai pas sacrifier une seconde fois », a déclaré René Capain Bassene à sa famille.
À ce jour, René Capain Bassene reste toujours affaibli, bien que son état se soit légèrement amélioré. Cependant, la famille continue d’attendre des éclaircissements sur ce qui s’est réellement passé au bloc opératoire. Pourquoi la tympanoplastie n’a-t-elle pas été réalisée ? Pourquoi l’opération a-t-elle été suspendue en cours ? S’agit-il d’un sabotage ? D’une tentative de manipulation pour l’amadouer ? René Capain Bassene n’avait jamais été dans un tel état auparavant, et sa famille exige des explications.
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