Les jeunes de la commune de Mbour sont sortis, hier vendredi de leur réserve pour dévoiler leur adhésion à la cause du fils de Me Abdoulaye Wade, incarcéré depuis plus d’un an à Rebess dans le cadre des enquêtes liées à la traque de biens supposés mal acquis. A quelques jours de la tenue du procès de Karim Wade, Cheikh Niang, leur porte parole a indiqué à travers une déclaration, « la détention en prison, et le procès du fils de l’ex-Président Wade est purement politique ». C’est pour quoi dit-il, « le procès ne devrait même pas avoir lieu car, il n’y a aucun élément à charge contre Karim Wade ».
Cheikh Niang et ses camarades partagent l’ultime conviction que, le maintien en prison de leur mentor et la tenue de son procès sont inopportuns. Non sans indiquer que la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) est illégitime. « La CREI n’a aucune compétence pour juger un ministre de la République. Nous réfutons vigoureusement la légitimité de cette cour qui a été abrogée par la loi 84-19 du 02 février 1984 et Macky Sall, par incompétence, a ressuscité par décret ». A ce propos, rappellent leur porte-parole, « une loi abrogée par une loi ne peut en aucun cas, être ressuscitée par un décret… ».
Selon nos confrères du journal « Libération », devant ce fait, les détracteurs du pouvoir, Macky Sall ne veut pas à la présidentielle de 2017, la candidature de Karim Wade. Pour faire face, ils promettent une grande mobilisation au matin du 31 juillet prochain, date de la tenue du procès de Karim Wade.
Cheikh Niang et ses camarades partagent l’ultime conviction que, le maintien en prison de leur mentor et la tenue de son procès sont inopportuns. Non sans indiquer que la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) est illégitime. « La CREI n’a aucune compétence pour juger un ministre de la République. Nous réfutons vigoureusement la légitimité de cette cour qui a été abrogée par la loi 84-19 du 02 février 1984 et Macky Sall, par incompétence, a ressuscité par décret ». A ce propos, rappellent leur porte-parole, « une loi abrogée par une loi ne peut en aucun cas, être ressuscitée par un décret… ».
Selon nos confrères du journal « Libération », devant ce fait, les détracteurs du pouvoir, Macky Sall ne veut pas à la présidentielle de 2017, la candidature de Karim Wade. Pour faire face, ils promettent une grande mobilisation au matin du 31 juillet prochain, date de la tenue du procès de Karim Wade.
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