«Je suis très proche de cette personnes (Ndlr : Lamine Diack). Evidemment, j’ai été très déçu d’apprendre ce qui s’est passé. Evidemment, on met en avant pour l’instant la présomption d’innocence». Ces propos sont de l’ancien Premier Abdoul Mbaye qui se prononçait sur l’affaire de corruption qui secoue la Fédération internationale d’athlétisme. Affaire dans laquelle, Lamine Diack a été inculpé et son fils, Papa Massata Diack, sous la menace d’un mandat d’arrêt international.
Concernant ce dernier, le président du parti Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) qui répondait aux questions de nos confrères de RFI est d’avis qu’il avait mieux à faire que de rester au Sénégal.
«Je pense que son fils, qui a été souvent cité dans ce dossier de dopage et dans d’autres, aurait peut-être dû se joindre à la procédure initiée en France pour blanchir le président Lamine Diack. C’est douloureux pour le Sénégal et ça l’est pour moi», a-t-il déclaré.
Revenant sur la décision de Diack-fils de rester au Sénégal, M. Mbaye pense que ce n’est pas la solution la mieux indiquée : «C’est le choix qu’il a fait. Le mien aurait été différent. Je n’aurais peut-être pas été impliquée dans des histoires de cette nature (Rires), mais je n’aurais pas laissé mon père seul se battre dans des difficultés de ce type. Se terrer au Sénégal n’est pas le meilleur moyen de produire la vérité», a-t-il conclu.
Concernant ce dernier, le président du parti Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) qui répondait aux questions de nos confrères de RFI est d’avis qu’il avait mieux à faire que de rester au Sénégal.
«Je pense que son fils, qui a été souvent cité dans ce dossier de dopage et dans d’autres, aurait peut-être dû se joindre à la procédure initiée en France pour blanchir le président Lamine Diack. C’est douloureux pour le Sénégal et ça l’est pour moi», a-t-il déclaré.
Revenant sur la décision de Diack-fils de rester au Sénégal, M. Mbaye pense que ce n’est pas la solution la mieux indiquée : «C’est le choix qu’il a fait. Le mien aurait été différent. Je n’aurais peut-être pas été impliquée dans des histoires de cette nature (Rires), mais je n’aurais pas laissé mon père seul se battre dans des difficultés de ce type. Se terrer au Sénégal n’est pas le meilleur moyen de produire la vérité», a-t-il conclu.
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