Le désormais ex-DGPN, Abdoulaye Niang rappelé à d'autres fonctions pas plus tard qu'hier par le conseil des ministres, le commissaire Keïta qui fait pour sa part l'objet de "mesures conservatoires et de sanctions disciplinaires à la mesures des fautes qui ont été établies" par l'enquête de la Direction de l'Inspection des Services de Sécurité (DISS), risque pire.
La radiation pure et simple du corps de la police. Et ce, pour "violation du droit de réserve et non respect de l'autorité hiérarchique" et même des peines criminelles pourrait être prononcées contre lui, sur le plan judiciaire si "les faits établissaient sa culpabilité" , selon le journal "Le Populaire" qui précise toutefois sa réhabilitétation s'il s'avère le contraire à savoir que les DGPN sont bel et bien mêlés au trafic de drogue.
Le conseil des ministres n'étant pas habilité à prendre des sanctions à l'encontre de l'ex-patron de l'OCRTISS, Office Centrale de Répression du Trafic Illicite de Stupéfiants, Cheikhna Cheikh Saadbou Keïta a été mis à la disposition du conseil de discipline qui aura la lourde tâche de décider de son avenir.
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