Diabir et Kénya, quartiers périphériques de Ziguinchor ont, encore, été hier le théâtre de violents affrontements entre soldats du Sénégal et éléments supposés appartenir au Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc).
Selon nos sources le bilan est de deux morts et de trois blessés du côté des militaires. Les personnes blessées ont été acheminés d’abord aux Services des Urgences de l’hôpital régional de Ziguinchor avant d’être conduites à la zone militaire N° 5.
Nos sources informent que les militaires en service dans ces quartiers périphériques étaient en opération de sécurisation avant qu’ils ne découvrent des postions rebelles du mouvement des forces démocratiques de la Casamance.
De cette apasse d'armes, à coup de Kalachnikovs, entre Forces de l’ordre et éléments supposés appartenir au Mfdc, les militaires utiliseront l’artillerie lourde pour pilonner et détruire ces bases rebelles. Ainsi, renseignent nos contacts, l’avion de reconnaissance a survolé les environs du théâtre des opérations.
Prises de panique par ces échanges nourris, les populations ont fui ces quartiers pour se réfugier à Ziguinchor.
C’est le cas aussi pour les étudiants, les corps administratif et professoral qui ont laissé derrière eux un campus vide. En effet, ces affrontements n’étaient pas loin de l’Université de Ziguinchor.
Ces événements rappellent, encore, une fois de plus la nécessité pour les protagonistes de cette crise, qui n'a que trop duré, de s'asseoir autour d’une table pour trouver le plus vite possible une solution.
Selon nos sources le bilan est de deux morts et de trois blessés du côté des militaires. Les personnes blessées ont été acheminés d’abord aux Services des Urgences de l’hôpital régional de Ziguinchor avant d’être conduites à la zone militaire N° 5.
Nos sources informent que les militaires en service dans ces quartiers périphériques étaient en opération de sécurisation avant qu’ils ne découvrent des postions rebelles du mouvement des forces démocratiques de la Casamance.
De cette apasse d'armes, à coup de Kalachnikovs, entre Forces de l’ordre et éléments supposés appartenir au Mfdc, les militaires utiliseront l’artillerie lourde pour pilonner et détruire ces bases rebelles. Ainsi, renseignent nos contacts, l’avion de reconnaissance a survolé les environs du théâtre des opérations.
Prises de panique par ces échanges nourris, les populations ont fui ces quartiers pour se réfugier à Ziguinchor.
C’est le cas aussi pour les étudiants, les corps administratif et professoral qui ont laissé derrière eux un campus vide. En effet, ces affrontements n’étaient pas loin de l’Université de Ziguinchor.
Ces événements rappellent, encore, une fois de plus la nécessité pour les protagonistes de cette crise, qui n'a que trop duré, de s'asseoir autour d’une table pour trouver le plus vite possible une solution.
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