Malgré la prise du pouvoir par les militaires et le président Ali Bongo Ondimba en résidence surveillée, l’opposant Albert Ondo Ossa demeure insatisfait. Le chef de l’opposition accuse Pascaline Bongo, sœur de Ali, de tirer les ficelles du putsch.
« La situation actuelle dans le pays est à mettre dans son contexte. Il ne faut pas que les Gabonais se trompent. Il n’y a pas de coup d’Etat militaire. Mais c’est une révolution de Palais », a confié l’adversaire du président déchu, Ali Bongo, lors d’un entretien sur la chaîne TV5.
Plus loin, l’opposant est convaincu que c’est « le clan Bongo » et que le chef de la transition n’est qu’un écran. « C’est Pascaline Bongo qui est derrière. C’est une révolution de palais », a servi Albert Ondo Ossa rappelant que c’est la garde prétorienne qui a perpétré le putsch.
Quant à la légitimité de l’actuel président de la transition, Brice Oligui Nguema, l’opposant à la tête de la coalition « Alternance 2023 » a estimé qu’il faut aller au comptage des bulletins.
« On doit donner les véritables résultats connus de toutes les missions diplomatiques », a exigé Albert Ondo Ossa qui fustige cependant cette prise de pouvoir militaire. « Il faut travailler pour le retour à l’ordre constitutionnel. Mais je reste sur mes idées. C’est un Bongo qui remplace un Bongo ».
Albert Ondo Ossa considère en définitive que c’est une révolution de palais qui est en train de se passer au Gabon et qu’il reste attentif quant à la suite qui sera, espère-t-il en sa faveur.
« La situation actuelle dans le pays est à mettre dans son contexte. Il ne faut pas que les Gabonais se trompent. Il n’y a pas de coup d’Etat militaire. Mais c’est une révolution de Palais », a confié l’adversaire du président déchu, Ali Bongo, lors d’un entretien sur la chaîne TV5.
Plus loin, l’opposant est convaincu que c’est « le clan Bongo » et que le chef de la transition n’est qu’un écran. « C’est Pascaline Bongo qui est derrière. C’est une révolution de palais », a servi Albert Ondo Ossa rappelant que c’est la garde prétorienne qui a perpétré le putsch.
Quant à la légitimité de l’actuel président de la transition, Brice Oligui Nguema, l’opposant à la tête de la coalition « Alternance 2023 » a estimé qu’il faut aller au comptage des bulletins.
« On doit donner les véritables résultats connus de toutes les missions diplomatiques », a exigé Albert Ondo Ossa qui fustige cependant cette prise de pouvoir militaire. « Il faut travailler pour le retour à l’ordre constitutionnel. Mais je reste sur mes idées. C’est un Bongo qui remplace un Bongo ».
Albert Ondo Ossa considère en définitive que c’est une révolution de palais qui est en train de se passer au Gabon et qu’il reste attentif quant à la suite qui sera, espère-t-il en sa faveur.
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