Le président algérien Addelaziz Bouteflika, hospitalisé depuis fin avril à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce, a été transféré mardi 21 mai "dans un établissement parisien du service de santé des Armées", a-t-on appris de source proche du dossier. Un membre du gouvernement français avait confié dans la journée, à des journalistes, que le président algérien devait être transféré "aux Invalides pour suivre sa convalescence".
Ce transfert a été confirmé en début de soirée à l'AFP, de source proche du dossier.
"Après avoir subi des examens médicaux à l'hôpital du Val-de-Grâce à Paris, le président de la République, dont le pronostic vital n'a jamais été engagé et qui voit son état de santé s'améliorer de jour en jour, est tenu, sur recommandation de ses médecins, d'observer un strict repos en vue d'un total rétablissement", selon une déclaration du Premier ministre Abdelmalek Sellal, citée par l'agence APS.
Trois semaines après avoir été hospitalisé en urgence à Paris, le président algérien Abdelaziz Bouteflika reste invisible. Dans un pays où le secret fait partie des méthodes de gouvernement, personne ne connaît exactement l'état de santé du chef de l'Etat.
De fait, la presse algérienne a vivement critiqué ce mardi les informations officielles publiées au compte-goutte, dont un dernier communiqué la veille, sur l'état de santé du président algérien, jugeant que l'absence de communication ouvrait la voix aux rumeurs.
Ce transfert a été confirmé en début de soirée à l'AFP, de source proche du dossier.
"Après avoir subi des examens médicaux à l'hôpital du Val-de-Grâce à Paris, le président de la République, dont le pronostic vital n'a jamais été engagé et qui voit son état de santé s'améliorer de jour en jour, est tenu, sur recommandation de ses médecins, d'observer un strict repos en vue d'un total rétablissement", selon une déclaration du Premier ministre Abdelmalek Sellal, citée par l'agence APS.
Trois semaines après avoir été hospitalisé en urgence à Paris, le président algérien Abdelaziz Bouteflika reste invisible. Dans un pays où le secret fait partie des méthodes de gouvernement, personne ne connaît exactement l'état de santé du chef de l'Etat.
De fait, la presse algérienne a vivement critiqué ce mardi les informations officielles publiées au compte-goutte, dont un dernier communiqué la veille, sur l'état de santé du président algérien, jugeant que l'absence de communication ouvrait la voix aux rumeurs.
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