Frédéric Coudon, agent de l’ambassade de France au Sénégal, a été interpellé, le samedi 12 février dernier, à sa descente d’avion à l’aéroport de Roissy, en France. L’individu, âgé de 58 ans, qui était l'administrateur réseau à l’Ambassade de France au Sénégal, est soupçonné d’avoir échangé sur Internet de nombreux fichiers à caractère pédopornographique, rapporte le journal Libération dans sa parution du jour.
Il s’agissait de photos et de vidéos « abominables » d’enfants victimes de viol. L’agent de l’ambassade de France au Sénégal a été mis en examen, avant d’être placé en détention provisoire.
Ce sont les policiers de la Brigade des mineurs de la police judiciaire parisienne qui ont, en premier, repéré les activités illicites du suspect sur Internet. Les enquêteurs, qui surveillent les réseaux peer-to-peer, se sont aperçus que cet individu échangeait de « grandes quantités » de fichiers mettant en scène des enfants victimes de viol.
Son adresse IP identifiée, elle mène les policiers à l'homme qui, administrait le réseau de l’Ambassade de France au Sénégal.
Du Sénégal au Gabon en passant par la Tunisie, la Roumanie et la France, le prédateur présumé, en poste à Dakar depuis septembre 2021, a agi pendant 10 ans dans les pays où il a été affecté, indique Libération.
Il est sous le coup de 7 chefs d’inculpations pour détention d’images de mineurs à caractère pornographique, corruption de mineurs, offre et mise à disposition d’images pornographiques de mineurs.
Le juge David Gorecki, en charge du dossier, a envoyé une commission rogatoire à Dakar et a demandé l’audition de ses collègues de l’Ambassade de France ainsi que d’A. Traoré, une employée dans une maison sise à Sicap Foire.
Il s’agissait de photos et de vidéos « abominables » d’enfants victimes de viol. L’agent de l’ambassade de France au Sénégal a été mis en examen, avant d’être placé en détention provisoire.
Ce sont les policiers de la Brigade des mineurs de la police judiciaire parisienne qui ont, en premier, repéré les activités illicites du suspect sur Internet. Les enquêteurs, qui surveillent les réseaux peer-to-peer, se sont aperçus que cet individu échangeait de « grandes quantités » de fichiers mettant en scène des enfants victimes de viol.
Son adresse IP identifiée, elle mène les policiers à l'homme qui, administrait le réseau de l’Ambassade de France au Sénégal.
Du Sénégal au Gabon en passant par la Tunisie, la Roumanie et la France, le prédateur présumé, en poste à Dakar depuis septembre 2021, a agi pendant 10 ans dans les pays où il a été affecté, indique Libération.
Il est sous le coup de 7 chefs d’inculpations pour détention d’images de mineurs à caractère pornographique, corruption de mineurs, offre et mise à disposition d’images pornographiques de mineurs.
Le juge David Gorecki, en charge du dossier, a envoyé une commission rogatoire à Dakar et a demandé l’audition de ses collègues de l’Ambassade de France ainsi que d’A. Traoré, une employée dans une maison sise à Sicap Foire.
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