Dans un communiqué daté de ce mercredi 1er février et parvenu à la rédaction de Pressafrik, ces organisations condamnent avec la dernière énergie « les actes de violence délibérée perpétrée par la police et la gendarmerie contre les manifestations », faisant allusion au camion de la police qui a foncé droit sur la foule des manifestants. Des manifestations qualifiées pourtant de « pacifiques et non armées » par ces dernières.
A cet effet, compte tenu de la gravité des faits et des témoignages recueillis, Amnesty International, la RADDHO et la LSDH exigent que les coupables soient punis dans cette affaire qui a ôté la vie à Mamadou Diop. Le communiqué de souligner que ces organisations tiennent pour responsables l’autorité politique garante de la sécurité des citoyens, ainsi que la hiérarchie des présumés auteurs de cette violence.
Les organisations pour la défense des droits de l’homme n’ont pas manqué de condamner les obstructions et les jets de grenades lacrymogènes contre les véhicules médicalisés, de la part des services d’ordre.
A cet effet, compte tenu de la gravité des faits et des témoignages recueillis, Amnesty International, la RADDHO et la LSDH exigent que les coupables soient punis dans cette affaire qui a ôté la vie à Mamadou Diop. Le communiqué de souligner que ces organisations tiennent pour responsables l’autorité politique garante de la sécurité des citoyens, ainsi que la hiérarchie des présumés auteurs de cette violence.
Les organisations pour la défense des droits de l’homme n’ont pas manqué de condamner les obstructions et les jets de grenades lacrymogènes contre les véhicules médicalisés, de la part des services d’ordre.
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