02 mars 2020- 02 mars 2021, il y a un (1) an, le Sénégal enregistrait son premier cas positif de Covid-19, un cas importé qui avait séjourné dans la ville de Nîmes, dans le sud de la France. La pandémie a réussi à installer ses tentacules mettant le pays sens dessus-dessous avec de plus en plus de cas positifs au virus. La situation, devenue inquiétante après quelques mois, a poussé les autorités étatiques à prendre des mesures drastiques comme l’état d’urgence assorti de couvre-feu de 21 heures à 6 heures du matin. Des décisions qui ont eu d’énormes impacts sur le vécu quotidien des Sénégalais. L’impact économique et la peur ont été les mieux partagés. Un (1) an après, les populations continuent toujours de subir les effets néfastes de la covid-19. Interrogés par PressAfrik, commerçants, taximan et riverains racontent leur calvaire.
Il est 11 heures. Ici, sur les deux voies qui mènent vers Niarry Tally, un quartier populeux de Dakar, ça grouille de monde. Les habitants vont et viennent. Les étals des commerçants occupent les allées et campent le décor. Certains marchands discutent de l’actualité du jour c'est-à-dire, l'an un de la Covid-19 et ses conséquences.
Trouvé devant son étal, ce jeune vendeur d'habits, assis sur un tabouret, raconte son vécu. « J'ai l’habitude de vendre après 19 heures, mais avec le couvre-feu, on ne travaille plus. Je subis vraiment les effets de la pandémie, c’est difficile », se désole-t-il.
Plus loin, un taximan, assis devant une boutique prêt-à-porter, la quarantaine bien sonnée, semble être plus affecté par la peur que par l’impact économique. Interrogé, il parle de la peur qu’il a ressentie à l’annonce de l’apparition du premier cas de covid-19, le 26 février 2020. « C’est une maladie qui fait peur, elle n’épargne personne. La covid-19 empêche tout le monde de travailler, je prie Dieu pour qu’il nous épargne de cette maladie », a-t-il confié.
Trouvé sur le trottoir, un septuagénaire dénonce le relâchement noté chez les Sénégalais depuis un certain temps et appelle au respect des mesures barrières. « Au tout début de la pandémie, les gens étaient à cheval sur les mesures barrières, il y avait des laves main et des gels partout. Par contre la deuxième vague est plus virulente que la première, mais on ne voit plus les laves main, les gens privilégient les masques », explique le vieux.
Il est 11 heures. Ici, sur les deux voies qui mènent vers Niarry Tally, un quartier populeux de Dakar, ça grouille de monde. Les habitants vont et viennent. Les étals des commerçants occupent les allées et campent le décor. Certains marchands discutent de l’actualité du jour c'est-à-dire, l'an un de la Covid-19 et ses conséquences.
Trouvé devant son étal, ce jeune vendeur d'habits, assis sur un tabouret, raconte son vécu. « J'ai l’habitude de vendre après 19 heures, mais avec le couvre-feu, on ne travaille plus. Je subis vraiment les effets de la pandémie, c’est difficile », se désole-t-il.
Plus loin, un taximan, assis devant une boutique prêt-à-porter, la quarantaine bien sonnée, semble être plus affecté par la peur que par l’impact économique. Interrogé, il parle de la peur qu’il a ressentie à l’annonce de l’apparition du premier cas de covid-19, le 26 février 2020. « C’est une maladie qui fait peur, elle n’épargne personne. La covid-19 empêche tout le monde de travailler, je prie Dieu pour qu’il nous épargne de cette maladie », a-t-il confié.
Trouvé sur le trottoir, un septuagénaire dénonce le relâchement noté chez les Sénégalais depuis un certain temps et appelle au respect des mesures barrières. « Au tout début de la pandémie, les gens étaient à cheval sur les mesures barrières, il y avait des laves main et des gels partout. Par contre la deuxième vague est plus virulente que la première, mais on ne voit plus les laves main, les gens privilégient les masques », explique le vieux.
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