Depuis l’installation du nouveau gouvernement, les féministes du Sénégal ne cessent de fustiger la faible représentativité des femmes dans les instances de gouvernance. Pour se faire entendre, elles sont montées au créneau ce samedi. Prenant la parole, Anta Babacar Ngom, candidate malheureuse à la présidentielle de mars 2024, et membre du Cadre de Concertation pour le respect et la préservation des droits des femmes et des filles en a profité pour inviter les femmes à s’investir dans la politique et de ne pas se contenter des nominations.
« C’est ma première prise de parole publique depuis l’élection présidentielle. Et c’est avec beaucoup d’émotion que je le fais devant mes sœurs et mes tatas. Aujourd’hui, je suis ici pour dire merci, marqué, magnifier. Moi Anta Babacar Ngom, je fais partie du Cadre de Concertation. Je veux que ce soit clair, il ne faut pas que des gens se servent de ma candidature comme moyen pour diviser ou pour mettre en mal les femmes, je ne l’accepterai pas. Notre combat va au-delà de ça », a-t-elle déclaré.
Revenant sur son parcours, Anta Babacar de révéler : « Il y a de cela quelques années, je recevais le prix de la plus jeune femme, entrepreneuse. À cette période, je me définissais comme étant Anta Babacar, Cheffe d’entreprise. Aujourd’hui, je me présente comme étant Anta Babacar femme politique assumée et affirmée. Je vous rassure qu’on ne change jamais de priorités, aujourd’hui, nous sommes encore plus déterminés et je tends la main à tout un chacun, parce que c’est l’union qui fait la force. Nous sommes toujours sur cette lancée. Donc je peux me permettre d’affirmer que c’est moi Anta Babacar qui devait être la présidente de la République.
Elle poursuit : « Je suis toujours, j’y crois en mon fond intérieur, c’est n’est qu’un combat décalé et si Dieu le veut, j’y arriverais. J’en profite pour inviter les femmes en politique de façon assumée. Il ne faut pas dire que vous êtes politique, chacun à sa manière de faire de la politique. Il faut se battre pour s’imposer dans les instances dirigeantes. Et ne pas vivre dans l’espoir que celui qui est à la tête du pays vous nomme pour un poste. Cela m’insupporte », a affirmé Anta Babacar.
Pour Anta Babacar, les moqueries qu’elle a subies lors de la période électorale l'ont rendue plus brave et résiliente. « J’ai entendu des tas de moqueries, comme Anta « Thiouthie », Anta poussin, mais cela ne m’affecte en rien ».
Au contraire, dit-elle, « je suis devenue plus brave, courageuse et surtout résiliente. Je souhaite que ce cadre de concertation soit mis en place, soit une réussite. Et que ceux qui souhaitent notre échec ne puissent se réjouir. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir tant que ça va dans le sens de protéger et préserver les droits de la femme », a-t-elle soutenu.
« C’est ma première prise de parole publique depuis l’élection présidentielle. Et c’est avec beaucoup d’émotion que je le fais devant mes sœurs et mes tatas. Aujourd’hui, je suis ici pour dire merci, marqué, magnifier. Moi Anta Babacar Ngom, je fais partie du Cadre de Concertation. Je veux que ce soit clair, il ne faut pas que des gens se servent de ma candidature comme moyen pour diviser ou pour mettre en mal les femmes, je ne l’accepterai pas. Notre combat va au-delà de ça », a-t-elle déclaré.
Revenant sur son parcours, Anta Babacar de révéler : « Il y a de cela quelques années, je recevais le prix de la plus jeune femme, entrepreneuse. À cette période, je me définissais comme étant Anta Babacar, Cheffe d’entreprise. Aujourd’hui, je me présente comme étant Anta Babacar femme politique assumée et affirmée. Je vous rassure qu’on ne change jamais de priorités, aujourd’hui, nous sommes encore plus déterminés et je tends la main à tout un chacun, parce que c’est l’union qui fait la force. Nous sommes toujours sur cette lancée. Donc je peux me permettre d’affirmer que c’est moi Anta Babacar qui devait être la présidente de la République.
Elle poursuit : « Je suis toujours, j’y crois en mon fond intérieur, c’est n’est qu’un combat décalé et si Dieu le veut, j’y arriverais. J’en profite pour inviter les femmes en politique de façon assumée. Il ne faut pas dire que vous êtes politique, chacun à sa manière de faire de la politique. Il faut se battre pour s’imposer dans les instances dirigeantes. Et ne pas vivre dans l’espoir que celui qui est à la tête du pays vous nomme pour un poste. Cela m’insupporte », a affirmé Anta Babacar.
Pour Anta Babacar, les moqueries qu’elle a subies lors de la période électorale l'ont rendue plus brave et résiliente. « J’ai entendu des tas de moqueries, comme Anta « Thiouthie », Anta poussin, mais cela ne m’affecte en rien ».
Au contraire, dit-elle, « je suis devenue plus brave, courageuse et surtout résiliente. Je souhaite que ce cadre de concertation soit mis en place, soit une réussite. Et que ceux qui souhaitent notre échec ne puissent se réjouir. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir tant que ça va dans le sens de protéger et préserver les droits de la femme », a-t-elle soutenu.
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