Samuel Sarr est en garde à vue après son arrestation le vendredi 22 novembre 2024, à l'aéroport international Blaise Diagne (AIBD). Arrestation qui découle d'une plainte que Moustapha Ndiaye a déposée à son encontre. Leur contentieux provient d'un écart de deux milliards non justifiés, révélé par l'audit commandité par Moustapha Ndiaye.
Pourtant, l'avocat du plaignant, a révélé que toutes les preuves des justificatifs des dépenses ont été déjà fournies aux enquêteurs, renseigne le journal Les Échos dans sa parution du jour.
L'arrestation de Samuel Faye découle d'une plainte déposée par l'un des actionnaires du projet West African Energy (WAE), en l'occurrence, Moustapha Ndiaye, ancien Pca de ladite société. Et, contrairement aux 8 milliards FCFA allégués, le contentieux porte sur deux milliards, selon l'avocat de la défense Me Baboucar Cissé.
C'est à la suite d'un audit commandité par Moustapha Ndiaye qu'un manquant de deux milliards non justifiés a été relevé. Un écart contesté par le principal promoteur du projet WAE. A en croire son avocat, son avocat, Samuel Sarr avait déjà donné aux enquêteurs les justificatifs des dépenses de ces deux milliards lors de son audition jeudi dernier à la Sr, avant son voyage à Dubaï.
Un voyage qui entre dans le cadre du projet WAE, en compagnie du Directeur général de la Senelec. Toujours d'après la même source, c'est après son départ que Moustapha s'est opposé à lui avec une plainte, ce qui l'a conduit à son arrestation, explique Me Cissé qui estime que son client bénéficiera d'une liberté immédiate et d'un procès équitable.
Cependant, Me Cissé n'a pas manqué de révéler que son client a également déposé une plainte contre son détracteur. L’avocat regrette de constater que l'arrestation de son client pourrait impacter le bon déroulement du projet WAE qui devrait bientôt démarrer.
« Samuel Sarr est arrêté au moment où le projet de centrale électrique est à sa phase finale. Cette infrastructure est d'un apport énorme pour l'économie nationale. Sans nul doute, il s'agit d'un projet d'intérêt national conçu et réalisé par Samuel Sarr et son équipe. La centrale a été exécutée à 95% (test de démarrage à 95%). Aux moments où le Sénégal a plus besoin d'énergie, il y a véritablement un risque d'assister à l'arrêt des travaux qui sera fatal à l'économie nationale et à la Senelec », a déclaré la robe noire, qui poursuit : « il y a quelques mois, des tests ont été réalisés avec succès au niveau de la centrale. Ces tests ont donné satisfaction aux investisseurs, aux initiateurs dudit projet qui fait la fierté de l'expertise nationale ».
D'ailleurs, Me Cissé souligne qu’il n'est pas inutile de préciser que les « 366 MW représentent 25% de la production énergétique du Sénégal. La centrale contribuera sensiblement à la baisse du coût de l'énergie surtout pour les consommateurs ».
Pour rappel, c'est à son retour de Dubaï vendredi dernier, que Samuel Ameth Sarr a été arrêté par les éléments de la Section de recherches (Sr) avant d'être gardé à vue en attendant probablement de faire face au procureur.
Pourtant, l'avocat du plaignant, a révélé que toutes les preuves des justificatifs des dépenses ont été déjà fournies aux enquêteurs, renseigne le journal Les Échos dans sa parution du jour.
L'arrestation de Samuel Faye découle d'une plainte déposée par l'un des actionnaires du projet West African Energy (WAE), en l'occurrence, Moustapha Ndiaye, ancien Pca de ladite société. Et, contrairement aux 8 milliards FCFA allégués, le contentieux porte sur deux milliards, selon l'avocat de la défense Me Baboucar Cissé.
C'est à la suite d'un audit commandité par Moustapha Ndiaye qu'un manquant de deux milliards non justifiés a été relevé. Un écart contesté par le principal promoteur du projet WAE. A en croire son avocat, son avocat, Samuel Sarr avait déjà donné aux enquêteurs les justificatifs des dépenses de ces deux milliards lors de son audition jeudi dernier à la Sr, avant son voyage à Dubaï.
Un voyage qui entre dans le cadre du projet WAE, en compagnie du Directeur général de la Senelec. Toujours d'après la même source, c'est après son départ que Moustapha s'est opposé à lui avec une plainte, ce qui l'a conduit à son arrestation, explique Me Cissé qui estime que son client bénéficiera d'une liberté immédiate et d'un procès équitable.
Cependant, Me Cissé n'a pas manqué de révéler que son client a également déposé une plainte contre son détracteur. L’avocat regrette de constater que l'arrestation de son client pourrait impacter le bon déroulement du projet WAE qui devrait bientôt démarrer.
« Samuel Sarr est arrêté au moment où le projet de centrale électrique est à sa phase finale. Cette infrastructure est d'un apport énorme pour l'économie nationale. Sans nul doute, il s'agit d'un projet d'intérêt national conçu et réalisé par Samuel Sarr et son équipe. La centrale a été exécutée à 95% (test de démarrage à 95%). Aux moments où le Sénégal a plus besoin d'énergie, il y a véritablement un risque d'assister à l'arrêt des travaux qui sera fatal à l'économie nationale et à la Senelec », a déclaré la robe noire, qui poursuit : « il y a quelques mois, des tests ont été réalisés avec succès au niveau de la centrale. Ces tests ont donné satisfaction aux investisseurs, aux initiateurs dudit projet qui fait la fierté de l'expertise nationale ».
D'ailleurs, Me Cissé souligne qu’il n'est pas inutile de préciser que les « 366 MW représentent 25% de la production énergétique du Sénégal. La centrale contribuera sensiblement à la baisse du coût de l'énergie surtout pour les consommateurs ».
Pour rappel, c'est à son retour de Dubaï vendredi dernier, que Samuel Ameth Sarr a été arrêté par les éléments de la Section de recherches (Sr) avant d'être gardé à vue en attendant probablement de faire face au procureur.
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