Dans une déclaration conjointe, les organisations de défense des droits de l'homme ( AfrikaJom center, Africtivistes, Article 19, Amnesty international, Raddho etc) chargent et accusent l'Etat du Sénégal de vouloir étouffer des leaders politiques et journalistes.
Les auteurs de cette tribune, parvenue ce jeudi à PressAfrik, ont appelé l'Etat à :
"-Abroger l'article 255 du code pénal qui criminalise la publication de fausses nouvelles et l’article 80 pour les aligner avec les normes internationales.
- Réexaminer toutes les mesures punitives, y compris les restrictions pénales à la diffamation, l’injure, l’offense ou à la publication de fausses informations, et s'assurer qu'elles sont nécessaires, proportionnées, justifiables et compatibles avec les normes internationales en matière de droits de l'homme.
-Respecter les engagements internationaux en matière de droits humains, notamment ceux découlant de la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples et du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, auxquels le Sénégal est partie.
Par ailleurs, ces organisations ont interpellé l'Etat sur des cas de violences exercées sur des journalistes dans l'exercice de leur fonction. "Le gouvernement doit aussi mettre fin à l'impunité de la violence récurrente contre les journalistes et les médias. Une enquête doit être ouverte sur les violences contre Maty Sarr Niang et Ngoné Saliou Diop pour identifier les responsables et les traduire en justice", lit -on dans la déclaration.
A terme, Aliou Tine et ses camarades appellent à une vigilance accrue "afin de garantir la liberté d'expression et l'accès à une information objective, des principes fondamentaux qui doivent guider ce processus démocratique, sans reproduire les dérives observées sous le régime précédent".
Les auteurs de cette tribune, parvenue ce jeudi à PressAfrik, ont appelé l'Etat à :
"-Abroger l'article 255 du code pénal qui criminalise la publication de fausses nouvelles et l’article 80 pour les aligner avec les normes internationales.
- Réexaminer toutes les mesures punitives, y compris les restrictions pénales à la diffamation, l’injure, l’offense ou à la publication de fausses informations, et s'assurer qu'elles sont nécessaires, proportionnées, justifiables et compatibles avec les normes internationales en matière de droits de l'homme.
-Respecter les engagements internationaux en matière de droits humains, notamment ceux découlant de la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples et du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, auxquels le Sénégal est partie.
Par ailleurs, ces organisations ont interpellé l'Etat sur des cas de violences exercées sur des journalistes dans l'exercice de leur fonction. "Le gouvernement doit aussi mettre fin à l'impunité de la violence récurrente contre les journalistes et les médias. Une enquête doit être ouverte sur les violences contre Maty Sarr Niang et Ngoné Saliou Diop pour identifier les responsables et les traduire en justice", lit -on dans la déclaration.
A terme, Aliou Tine et ses camarades appellent à une vigilance accrue "afin de garantir la liberté d'expression et l'accès à une information objective, des principes fondamentaux qui doivent guider ce processus démocratique, sans reproduire les dérives observées sous le régime précédent".
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