Le président de l’Assemblée législative de la transition est le professeur Aboubacar Toguyeni qui aura donc la mission de conduire les débats au sein de l’Hémicycle. Il a obtenu 59 voix sur les 70 votants face à deux autres candidats et entend apporter son contribution à l’œuvre de refondation annoncée par le Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration (MPSR).
Professeur titulaire en sciences halieutiques de l’université Nazi-Boni de Bobo Dioulasso, Aboubacar Toguyeni fait partie des 21 personnalités désignées par le chef de l’État, Paul-Henri Sandaogo Damiba pour composer le Parlement. Son passé d’ancien élève du Prytanée militaire du Kadiogo et son appartenance à la religion musulmane auraient aidé à son choix à la tête de l’Assemblée législative de transition.
Ce père de famille de 58 ans soutient avoir quitté son domaine de l’enseignement pour contribuer à la construction d’un Burkina nouveau : « Mon mandat sera inscrit dans le sens de l’engagement pour le pays dans sa quête de sécurité, de dignité et d’honneur. Je sais que c’est une transition pour asseoir les fondements pour une société plus juste et de moralisation de la vie publique. Je veillerai au contrôle de l’action du gouvernement, à la défense des intérêts du peuple et nous prendrons aussi l’initiative de propositions de lois ou toute autre action allant dans le sens de l’intérêt supérieur de la nation ».
Le chef de l’État souhaite que les principaux groupes religieux participent activement à l’œuvre de refondation du Burkina Faso, confie un député. Le président de l’Assemblée législative de transition est un homme à poigne et très rigoureux, selon un enseignant.
Professeur titulaire en sciences halieutiques de l’université Nazi-Boni de Bobo Dioulasso, Aboubacar Toguyeni fait partie des 21 personnalités désignées par le chef de l’État, Paul-Henri Sandaogo Damiba pour composer le Parlement. Son passé d’ancien élève du Prytanée militaire du Kadiogo et son appartenance à la religion musulmane auraient aidé à son choix à la tête de l’Assemblée législative de transition.
Ce père de famille de 58 ans soutient avoir quitté son domaine de l’enseignement pour contribuer à la construction d’un Burkina nouveau : « Mon mandat sera inscrit dans le sens de l’engagement pour le pays dans sa quête de sécurité, de dignité et d’honneur. Je sais que c’est une transition pour asseoir les fondements pour une société plus juste et de moralisation de la vie publique. Je veillerai au contrôle de l’action du gouvernement, à la défense des intérêts du peuple et nous prendrons aussi l’initiative de propositions de lois ou toute autre action allant dans le sens de l’intérêt supérieur de la nation ».
Le chef de l’État souhaite que les principaux groupes religieux participent activement à l’œuvre de refondation du Burkina Faso, confie un député. Le président de l’Assemblée législative de transition est un homme à poigne et très rigoureux, selon un enseignant.
Autres articles
-
Haïti convoque l'ambassadeur de France après les propos «inacceptables» d'Emmanuel Macron
-
Mali: le général de division Abdoulaye Maïga nommé Premier ministre de transition
-
Syrie: 68 morts dans les frappes israéliennes contre des groupes pro-iraniens à Palmyre (nouveau bilan)
-
États-Unis: Elon Musk détaille son «projet» de réforme de l'État dans le «Wall Street Journal»
-
Egypte: une loi sur les réfugiés adoptée par le Parlement