C’est au stade de Gitega que le nouveau président burundais a prêté serment, conformément à l’article 107 de la Constitution, debout, le drapeau national et celui de l’unité nationale dans la main gauche, la droite levée. Il entame ce jeudi un mandat de sept ans.
La mort inattendue du président Pierre Nkurunziza a précipité l’entrée en fonction d’Évariste Ndayishimiye. Élu lors de la présidentielle du 20 avril dernier, il ne devait pas prendre les rênes de l’État avant le mois d’août. Finalement, il vient d’entamer ce jeudi son mandat de sept ans.
Le président de la République démocratique du Congo voisine, Félix Tshisekedi, qui était le seul chef d'État étranger attendu, n'était finalement pas présent. La vice-présidente de la Tanzanie, Samia Suluhu, a assisté au nom de son pays.
Les membres des corps diplomatiques, de l'armée, de la police, de la justice, du Parlement et du gouvernement occupaient la tribune, alors que sur le pourtour du stade le public était assis en fonction de sa province d'origine. Les forces de l'ordre étaient sur le qui-vive à l'extérieur.
Les autorités avaient demandé au public de se présenter assez tôt pour se plier aux mesures sanitaires mises en place, comme le lavage des mains et la prise de température.
Élu à la présidentielle du 20 mai, M. Ndayishimiye devait initialement prendre ses fonctions le 20 août, à la fin du mandat de Pierre Nkurunziza. Le décès subit de ce dernier le 8 juin, à l'âge de 55 ans après 15 années au pouvoir, officiellement d'un "arrêt cardiaque", a changé la donne.
La mort inattendue du président Pierre Nkurunziza a précipité l’entrée en fonction d’Évariste Ndayishimiye. Élu lors de la présidentielle du 20 avril dernier, il ne devait pas prendre les rênes de l’État avant le mois d’août. Finalement, il vient d’entamer ce jeudi son mandat de sept ans.
Le président de la République démocratique du Congo voisine, Félix Tshisekedi, qui était le seul chef d'État étranger attendu, n'était finalement pas présent. La vice-présidente de la Tanzanie, Samia Suluhu, a assisté au nom de son pays.
Les membres des corps diplomatiques, de l'armée, de la police, de la justice, du Parlement et du gouvernement occupaient la tribune, alors que sur le pourtour du stade le public était assis en fonction de sa province d'origine. Les forces de l'ordre étaient sur le qui-vive à l'extérieur.
Les autorités avaient demandé au public de se présenter assez tôt pour se plier aux mesures sanitaires mises en place, comme le lavage des mains et la prise de température.
Élu à la présidentielle du 20 mai, M. Ndayishimiye devait initialement prendre ses fonctions le 20 août, à la fin du mandat de Pierre Nkurunziza. Le décès subit de ce dernier le 8 juin, à l'âge de 55 ans après 15 années au pouvoir, officiellement d'un "arrêt cardiaque", a changé la donne.
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