Emmanuel Macron s’est félicité, lors de sa visite à Niamey, de l’action des troupes françaises dans la région, et en particulier au Niger. En présence de son homologue Mahamadou Issoufou, le président français a affirmé vouloir renforcer « l’agilité sur le terrain » des hommes de l’opération Barkhane.
Face à un combat « pas gagné », le tout nouveau quadragénaire a estimé indispensable « d’innover d’avantage » et de concentrer l’engagement français en priorité « sur les régions identifiées comme étant les plus vulnérables ».
Dans ce but, « la France est prête non seulement à maintenir, mais aussi, si besoin était, à renforcer son engagement dans la région, parce que le combat contre le terrorisme au Sahel est essentiel », a ensuite expliqué Emmanuel Macron.
En soutien du travail des militaires, il a défendu la « coalition Sahel » mise en place par la France. Cette force armée constituée de soldats des pays du G5 Sahel et soutenue par la France a vocation « à travailler sur le plan opérationnel en collaboration étroite avec l’opération Barkhane ». Elle doit aussi « agréger des financements venant de bailleurs internationaux », notamment issus de l’Union européenne et des pays du Golfe.
Le but pour le président Macron est qu’elle soit en position d’agir au plus vite. Il souhaite donc que, dès février 2018, « à nouveau des opérations conjointes effectives sur le terrain » soient mises en place. Avec un objectif : « le premier semestre 2018 doit donner lieu à des victoires [militaires] claires contre les terroristes ».
Dans le même temps, le président nigérien a annoncé la création d'un « plan de lutte contre la migration clandestine » qualifiée « d'activité criminelle, qui a des passerelles avec le terrorisme ».
Face à un combat « pas gagné », le tout nouveau quadragénaire a estimé indispensable « d’innover d’avantage » et de concentrer l’engagement français en priorité « sur les régions identifiées comme étant les plus vulnérables ».
Dans ce but, « la France est prête non seulement à maintenir, mais aussi, si besoin était, à renforcer son engagement dans la région, parce que le combat contre le terrorisme au Sahel est essentiel », a ensuite expliqué Emmanuel Macron.
En soutien du travail des militaires, il a défendu la « coalition Sahel » mise en place par la France. Cette force armée constituée de soldats des pays du G5 Sahel et soutenue par la France a vocation « à travailler sur le plan opérationnel en collaboration étroite avec l’opération Barkhane ». Elle doit aussi « agréger des financements venant de bailleurs internationaux », notamment issus de l’Union européenne et des pays du Golfe.
Le but pour le président Macron est qu’elle soit en position d’agir au plus vite. Il souhaite donc que, dès février 2018, « à nouveau des opérations conjointes effectives sur le terrain » soient mises en place. Avec un objectif : « le premier semestre 2018 doit donner lieu à des victoires [militaires] claires contre les terroristes ».
Dans le même temps, le président nigérien a annoncé la création d'un « plan de lutte contre la migration clandestine » qualifiée « d'activité criminelle, qui a des passerelles avec le terrorisme ».
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