Depuis quelques jours, avec la montée rapide des eaux du fleuve Niger, les riverains sont menacés. « Nous, on a peur de l’eau parce que ça menace de déborder. Ça menace, nous, vraiment on a peur et on n’a pas les moyens », confie Mokctar, un habitant.
Diakité est un fonctionnaire à la retraite. Il avait le plus beau jardin à l’époque, mais aujourd’hui, avec les inondations, il crie son désarroi : « Nous sommes un peu inquiétés par la montée des eaux. La plupart des exploitants sont dans le désarroi. Dans deux semaines ou plus, cette digue va être submergée et l’eau va se balancer de l’autre côté. Ce serait dommage. »
A la direction de l’autorité du bassin du Niger, où l'on suit de très près l’évolution de la situation, un responsable tire la sonnette d’alarme : « Pour le moment, il faut dire que quand on est en alerte jaune, cela signifie que le risque de montée brusque que réel. Et cette montée va donc se propager en aval vers le Bénin et le Nigeria. »
C’est le branle-bas de combat au gouvernorat de la région de Niamey. Tout l’espoir repose sur une digue en construction pendant que les eaux du fleuve Niger ne cessent de monter. « Ils ont mis une équipe en permanence, une équipe de veille. Ensuite, nous avons mis l’équipe des sapeurs-pompiers en place et le message a été envoyé au niveau des populations riveraines pour se tenir en état d’alerte », explique le secrétaire général du gouvernorat par intérim.
Si jamais la digue cède, les quartiers Nogaré et Lamorde seront fortement sinistrés.
Diakité est un fonctionnaire à la retraite. Il avait le plus beau jardin à l’époque, mais aujourd’hui, avec les inondations, il crie son désarroi : « Nous sommes un peu inquiétés par la montée des eaux. La plupart des exploitants sont dans le désarroi. Dans deux semaines ou plus, cette digue va être submergée et l’eau va se balancer de l’autre côté. Ce serait dommage. »
A la direction de l’autorité du bassin du Niger, où l'on suit de très près l’évolution de la situation, un responsable tire la sonnette d’alarme : « Pour le moment, il faut dire que quand on est en alerte jaune, cela signifie que le risque de montée brusque que réel. Et cette montée va donc se propager en aval vers le Bénin et le Nigeria. »
C’est le branle-bas de combat au gouvernorat de la région de Niamey. Tout l’espoir repose sur une digue en construction pendant que les eaux du fleuve Niger ne cessent de monter. « Ils ont mis une équipe en permanence, une équipe de veille. Ensuite, nous avons mis l’équipe des sapeurs-pompiers en place et le message a été envoyé au niveau des populations riveraines pour se tenir en état d’alerte », explique le secrétaire général du gouvernorat par intérim.
Si jamais la digue cède, les quartiers Nogaré et Lamorde seront fortement sinistrés.
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