Selon les estimations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) », les maladies non transmissibles (MNT) telles que les maladies cardiovasculaires, le cancer et le diabète ont connu une forte hausse (42% des décès survenus au Sénégal). C’est le constat fait par le directeur de la Lutte contre la Maladie, Dr Mamadou Moustapha Diop. C’était devant 76 acteurs de la santé des régions de Thiès et de Diourbel et lors d'un conclave dans la cité du rail autour d’un atelier d’élaboration du plan de travail du projet de renforcement de la lutte contre les maladies non transmissibles.
« Les mesures contre les MNT sont également un problème de santé publique important du point de vue du financement de la santé, parce que les coûts liés aux soins médicaux pour les MNT représentent 30% des dépenses nationales de santé », a fait savoir Dr Mamadou Moustapha Diop dans les colonnes du journal Le Témoin. Il précise que les personnes souffrant de pathologies sous-jacentes, telles que le diabète, sont plus susceptibles d’être gravement infectées par la Covid-19.
Dans le cadre du Plan National de Développement Sanitaire et social (PNDSS) 2019-2028 élaboré par le Ministère de la Santé et de l’Action sociale (MSAS), la République du Sénégal a engagé un effort positif pour atteindre la Couverture Sanitaire Universelle (CSU) et l’Objectif de développement durable (ODD) n° 3. Ceux-ci consistent à donner aux individus les moyens de vivre une vie saine et promouvoir le bien-être à tous les âges. Ceci, par le renforcement des finances et de la gouvernance dans le domaine de la santé et de l’action sociale, le développement de l’offre de services de santé et de protection sociale et la promotion de la protection sociale.
Le directeur de la Lutte contre la Maladie rappelle que le Ministère de la Santé et de l’Action sociale a élaboré le Plan
d’accélération de la lutte contre les Maladies Non Transmissibles (MNT) au Sénégal (2023-2025) pour diminuer des maladies cardiovasculaires, affections respiratoires chroniques, drépanocytose, hémophilie, diabète et maladies rénales chroniques.
C’est dans ce contexte que vient de démarrer le nouveau projet intitulé « Projet de Renforcement de la lutte contre les Maladies Non Transmissibles (projet Aaru ci MNT) », mis en œuvre par le MSAS avec l’assistance technique de l’Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA). Un projet qui va durer 5 ans et vise à élaborer un paquet standardisé de services de « prévention/ dépistage/ diagnostic » et de « traitement/suivi de l’hypertension et du diabète », assorti
d’un système de gestion, indique le correspondant du journal Le Témoin à Thiès.
« Les mesures contre les MNT sont également un problème de santé publique important du point de vue du financement de la santé, parce que les coûts liés aux soins médicaux pour les MNT représentent 30% des dépenses nationales de santé », a fait savoir Dr Mamadou Moustapha Diop dans les colonnes du journal Le Témoin. Il précise que les personnes souffrant de pathologies sous-jacentes, telles que le diabète, sont plus susceptibles d’être gravement infectées par la Covid-19.
Dans le cadre du Plan National de Développement Sanitaire et social (PNDSS) 2019-2028 élaboré par le Ministère de la Santé et de l’Action sociale (MSAS), la République du Sénégal a engagé un effort positif pour atteindre la Couverture Sanitaire Universelle (CSU) et l’Objectif de développement durable (ODD) n° 3. Ceux-ci consistent à donner aux individus les moyens de vivre une vie saine et promouvoir le bien-être à tous les âges. Ceci, par le renforcement des finances et de la gouvernance dans le domaine de la santé et de l’action sociale, le développement de l’offre de services de santé et de protection sociale et la promotion de la protection sociale.
Le directeur de la Lutte contre la Maladie rappelle que le Ministère de la Santé et de l’Action sociale a élaboré le Plan
d’accélération de la lutte contre les Maladies Non Transmissibles (MNT) au Sénégal (2023-2025) pour diminuer des maladies cardiovasculaires, affections respiratoires chroniques, drépanocytose, hémophilie, diabète et maladies rénales chroniques.
C’est dans ce contexte que vient de démarrer le nouveau projet intitulé « Projet de Renforcement de la lutte contre les Maladies Non Transmissibles (projet Aaru ci MNT) », mis en œuvre par le MSAS avec l’assistance technique de l’Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA). Un projet qui va durer 5 ans et vise à élaborer un paquet standardisé de services de « prévention/ dépistage/ diagnostic » et de « traitement/suivi de l’hypertension et du diabète », assorti
d’un système de gestion, indique le correspondant du journal Le Témoin à Thiès.
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