Au Sénégal, les femmes « sont beaucoup plus touchées » par le VIH/Sida que les hommes, avec un taux de prévalence de 0,6%, a souligné vendredi, à Mbour (ouest) la secrétaire exécutive adjointe du Conseil national de lutte contre le Sida (CNLS), Dr Fatou Nar Mbaye Diouf.
« Il est important de souligner qu’au Sénégal, les femmes, avec un taux de prévalence de 0,6%, sont beaucoup plus touchées que les hommes. C’est pourquoi nous accordons une importance capitale à cette cible, surtout que dans le cadre de la transmission mère-enfant, nous voulons aller vers l’élimination », a-t-elle indiqué.
Selon elle, l’ambition du Sénégal à travers le CNLS, c’est d’atteindre les femmes en âge de procréer, celles en état de grossesse, les dépister. Si elles sont positives, les mettre sous traitement, pour que leurs enfants ne soient pas atteints par le VIH.
Elle s’exprimait lors de la cérémonie de remise d’attestations à des récipiendaires au terme d’une formation en cartographie locale sur la dynamique de vulnérabilité au VIH/Sida en Afrique de l’Ouest, organisée à l’initiative de l’ONG Enda Santé.
Selon elle, l’objectif du Sénégal, c’est d’atteindre les « trois 90 », c’est-à-dire qu’à l’horizon 2020, que 90% des personnes séropositives connaissent leur statut sérologique, 90% des personnes qui connaissent leur séropositivité reçoivent des traitements antirétroviraux et 90% des personnes sous traitements antirétroviraux ont une charge virale indétectable (ne transmettent donc plus le virus à leurs partenaires sexuels).
« Le Sénégal a fait beaucoup d’efforts, mais en termes de dépistage, le taux est très faible, puisque se situant à 72%. Ce qui veut dire que nous devons multiplier encore nos efforts pour atteindre ce dernier tiers », a lancé Mme Diouf.
A l’horizon 2030, l’objectif pourrait être relevé à 95-95-95, ce qui permettrait à la communauté internationale de mettre fin à l’épidémie de sida.
avec APS
« Il est important de souligner qu’au Sénégal, les femmes, avec un taux de prévalence de 0,6%, sont beaucoup plus touchées que les hommes. C’est pourquoi nous accordons une importance capitale à cette cible, surtout que dans le cadre de la transmission mère-enfant, nous voulons aller vers l’élimination », a-t-elle indiqué.
Selon elle, l’ambition du Sénégal à travers le CNLS, c’est d’atteindre les femmes en âge de procréer, celles en état de grossesse, les dépister. Si elles sont positives, les mettre sous traitement, pour que leurs enfants ne soient pas atteints par le VIH.
Elle s’exprimait lors de la cérémonie de remise d’attestations à des récipiendaires au terme d’une formation en cartographie locale sur la dynamique de vulnérabilité au VIH/Sida en Afrique de l’Ouest, organisée à l’initiative de l’ONG Enda Santé.
Selon elle, l’objectif du Sénégal, c’est d’atteindre les « trois 90 », c’est-à-dire qu’à l’horizon 2020, que 90% des personnes séropositives connaissent leur statut sérologique, 90% des personnes qui connaissent leur séropositivité reçoivent des traitements antirétroviraux et 90% des personnes sous traitements antirétroviraux ont une charge virale indétectable (ne transmettent donc plus le virus à leurs partenaires sexuels).
« Le Sénégal a fait beaucoup d’efforts, mais en termes de dépistage, le taux est très faible, puisque se situant à 72%. Ce qui veut dire que nous devons multiplier encore nos efforts pour atteindre ce dernier tiers », a lancé Mme Diouf.
A l’horizon 2030, l’objectif pourrait être relevé à 95-95-95, ce qui permettrait à la communauté internationale de mettre fin à l’épidémie de sida.
avec APS
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