Un Collectif a été mis sur pied par des commerçants dakarois, mardi 26 juillet et dénommé "Auchan dégage". Selon ses précurseurs, le groupe français ne peut pas cohabiter avec les petits commerces sénégalais au risque de saper l'économie sénégalaise.
Cependant, Auchan n'a violé aucune loi sur le commerce intérieur du Sénégal, si l'on en croit à Omar Diallo, qui a tenu à rappeler que ce secteur est libéralisé et que donc sur le plan juridique, Auchan est dans son droit. "Nous sommes dans le cadre d'un commerce libéralisé. Les dispositions réglementaires, qui s'appliquent au marché aujourd'hui, ce sont les dispositions de la loi 94/63 sur le contentieux économique et sur le contrôle des prix. En la matière, la législation ne prévoit pas l'existence de stade de commerce. Autrement dit, nous sommes dans un secteur qui a été libéralisé depuis 1986. Donc, l'implantation de ces structures commerciales n'obéit pas à une règle qui puisse les imposer ce qu'elles doivent vendre et à quels prix", a-t-il expliqué sur les ondes de la Rfm.
Le chef du service régional du commerce de Dakar d'ajouter que "les conditions d'implantation d'Auchan, c'est dans le cadre réglementaire qu'ils l'ont fait. Et dans le cadre de cette réglementation-là, rien ne leur empêche d'évoluer au même titre que ceux qui sont dans le commerce actuellement".
Toutefois, Omar Diallo comprend la crainte des commerçants sénégalais tout en mettant cela dans le cadre de la concurrence. Selon lui, les commerçants sénégalais savent qu'ils sont incapables de proposer à leur clientèle les prix qu'Auchan applique, la qualité et la quantité des produits qu'il propose.
Cependant, Auchan n'a violé aucune loi sur le commerce intérieur du Sénégal, si l'on en croit à Omar Diallo, qui a tenu à rappeler que ce secteur est libéralisé et que donc sur le plan juridique, Auchan est dans son droit. "Nous sommes dans le cadre d'un commerce libéralisé. Les dispositions réglementaires, qui s'appliquent au marché aujourd'hui, ce sont les dispositions de la loi 94/63 sur le contentieux économique et sur le contrôle des prix. En la matière, la législation ne prévoit pas l'existence de stade de commerce. Autrement dit, nous sommes dans un secteur qui a été libéralisé depuis 1986. Donc, l'implantation de ces structures commerciales n'obéit pas à une règle qui puisse les imposer ce qu'elles doivent vendre et à quels prix", a-t-il expliqué sur les ondes de la Rfm.
Le chef du service régional du commerce de Dakar d'ajouter que "les conditions d'implantation d'Auchan, c'est dans le cadre réglementaire qu'ils l'ont fait. Et dans le cadre de cette réglementation-là, rien ne leur empêche d'évoluer au même titre que ceux qui sont dans le commerce actuellement".
Toutefois, Omar Diallo comprend la crainte des commerçants sénégalais tout en mettant cela dans le cadre de la concurrence. Selon lui, les commerçants sénégalais savent qu'ils sont incapables de proposer à leur clientèle les prix qu'Auchan applique, la qualité et la quantité des produits qu'il propose.
Autres articles
-
Croissance économique : Le Sénégal parmi les leaders mondiaux en 2025 (rapport)
-
Sénégal : la dette extérieure atteint 32,8 milliards de dollars en 2023, avec une hausse de la dette privée
-
Sénégal : Le ministère des Finances dément des allégations sur une levée de fonds infructueuse et menace de poursuites
-
BCEAO: la banque conserve à 3,50 % son principal taux directeur
-
Sénégal : Hausse des prix des matériaux de construction en octobre 2024