Le torchon brûle entre le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et ses adversaires politiques. Pour le dénoncer, Benno Siggil Senegaal, Bennoo Taxawal Senegaal, la coalition des partis non-alignés et la Société civile ont suspendu leur participation à la concertation.
«Il s’agit d’une suspension de notre participation aux travaux du Comité technique de l’audit du fichier», a clamé Ousmane Badiane de la Coalition Bennoo Siggil Senegaal qui a voulait, en compagnie de ses camarades connaître les raisons de la démarche entreprise par Ousmane Ngom et ses hommes.
«Ce matin (c’était hier mercredi), à l’ouverture de la réunion, nous avons posé la question de savoir les raisons pour lesquelles le Gouvernement a entrepris de faire une révision des listes électorales du 1er décembre au 30 juin alors que la commission d’audit du fichier n’a pas encore déposé ses conclusions, alors qu’on n’a pas encore procédé à titre critique du déroulement de la révision des listes électorales qui a eu lieu du 1er février au 31 juillet 2010», a expliqué, au micro de Walf/Tv, le camarade du Professeur Abdoulaye Bathily.
Pour lui, cette démarche du ministre de l’intérieur est inacceptable pour plus d’une raison.
«Aujourd’hui, il est absolument inacceptable qu’au moment où l’audit est en train de se dérouler, où nous devons faire un examen croisé du fichier, de la carte électorale, des chaine des inscriptions, au moment même où on doit descendre sur le terrain pour faire des enquêtes et voir la correspondance entre le chiffre des inscrits et la population électorale, que le ministre de l’intérieur décide de manière unilatérale d’ouvrir une période des listes électorales sans aviser ni le Comité technique, ni le comité de pilotage qui sont chargés de mener l’audit», a développé M. Badiane qui estime que cette situation pourrait créer des brouillages.
«Nous avons pensé que (…) si on accepte cette situation elle va non seulement créer un brouillage de la chaine des inscriptions mais encore elle va jeter même un brouillage au niveau des principes directeurs qui doivent présider à l’audit du fichier électoral», a déduit Ousmane Badiane.
«Il s’agit d’une suspension de notre participation aux travaux du Comité technique de l’audit du fichier», a clamé Ousmane Badiane de la Coalition Bennoo Siggil Senegaal qui a voulait, en compagnie de ses camarades connaître les raisons de la démarche entreprise par Ousmane Ngom et ses hommes.
«Ce matin (c’était hier mercredi), à l’ouverture de la réunion, nous avons posé la question de savoir les raisons pour lesquelles le Gouvernement a entrepris de faire une révision des listes électorales du 1er décembre au 30 juin alors que la commission d’audit du fichier n’a pas encore déposé ses conclusions, alors qu’on n’a pas encore procédé à titre critique du déroulement de la révision des listes électorales qui a eu lieu du 1er février au 31 juillet 2010», a expliqué, au micro de Walf/Tv, le camarade du Professeur Abdoulaye Bathily.
Pour lui, cette démarche du ministre de l’intérieur est inacceptable pour plus d’une raison.
«Aujourd’hui, il est absolument inacceptable qu’au moment où l’audit est en train de se dérouler, où nous devons faire un examen croisé du fichier, de la carte électorale, des chaine des inscriptions, au moment même où on doit descendre sur le terrain pour faire des enquêtes et voir la correspondance entre le chiffre des inscrits et la population électorale, que le ministre de l’intérieur décide de manière unilatérale d’ouvrir une période des listes électorales sans aviser ni le Comité technique, ni le comité de pilotage qui sont chargés de mener l’audit», a développé M. Badiane qui estime que cette situation pourrait créer des brouillages.
«Nous avons pensé que (…) si on accepte cette situation elle va non seulement créer un brouillage de la chaine des inscriptions mais encore elle va jeter même un brouillage au niveau des principes directeurs qui doivent présider à l’audit du fichier électoral», a déduit Ousmane Badiane.
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