Le ministère de la Santé et de l'Action sociale (MSAS) sensibilise la population sur les dangers liés aux avortements provoqués et rappelle que l'interruption volontaire de grossesse est interdite au Sénégal, sauf dans le cadre de l'avortement thérapeutique, autorisé et encadré par le tribunal.
Dans un communiqué en date de ce mercredi 2 octobre 2024, le MSAS souligne que la pratique d'avortements réalisés par des personnes non qualifiées, dans des conditions non sécurisées, exposent les femmes à de graves risques médicaux : hémorragies, infections, troubles mentaux, rejet par la société, infertilité ou stérilité, Décès.
Selon le MSAS, l'article 305 du code pénal interdit explicitement toute manœuvre destinée à provoquer un avortement, tandis que l'article 305 bis sanctionne les discours en faveur de l'avortement, ainsi que la vente ou la distribution de produits susceptibles d'y conduire. Le code pénal prévoit des sanctions sévères, incluant des peines d'emprisonnement d'un (1) à cinq (5) ans et des amendes allant de 20 000 à 100 000 F. Ces sanctions s'appliquent à « la femme enceinte, aux personnes ayant pratiqué ou tenté de pratiquer un avortement, ainsi qu'à tous les complices ».
Le ministère de la Santé et de l'Action sociale appelle donc les citoyens à une vigilance accrue et les invite à signaler aux autorités sanitaires, administratives et de sécurité tout lieu ou activité promouvant l'avortement clandestin ou la distribution de produits liés à cette pratique.
Dans un communiqué en date de ce mercredi 2 octobre 2024, le MSAS souligne que la pratique d'avortements réalisés par des personnes non qualifiées, dans des conditions non sécurisées, exposent les femmes à de graves risques médicaux : hémorragies, infections, troubles mentaux, rejet par la société, infertilité ou stérilité, Décès.
Selon le MSAS, l'article 305 du code pénal interdit explicitement toute manœuvre destinée à provoquer un avortement, tandis que l'article 305 bis sanctionne les discours en faveur de l'avortement, ainsi que la vente ou la distribution de produits susceptibles d'y conduire. Le code pénal prévoit des sanctions sévères, incluant des peines d'emprisonnement d'un (1) à cinq (5) ans et des amendes allant de 20 000 à 100 000 F. Ces sanctions s'appliquent à « la femme enceinte, aux personnes ayant pratiqué ou tenté de pratiquer un avortement, ainsi qu'à tous les complices ».
Le ministère de la Santé et de l'Action sociale appelle donc les citoyens à une vigilance accrue et les invite à signaler aux autorités sanitaires, administratives et de sécurité tout lieu ou activité promouvant l'avortement clandestin ou la distribution de produits liés à cette pratique.
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