M. Bacary Domingo Mané, qui s'est félicité de cette initiative, a rappelé les bases de création du CORED. « Le CORED est né sur les cendres de la CRED. Le processus de sa création a été inclusif. Entre 2007 et 2009, toutes les rédactions ont été visitées par le comité de pilotage. Tous les patrons de presse, les directeurs de publications, les journalistes organisés en réseau et des organisations de la société civile ont été associées au processus. C'est la documentation échangée et validée par ces différents acteurs des médias et segments de la société sénégalaise qui a donné naissance au CORED » a-t-il informé.
Ce dernier très avisé des mauvais pratiques qui existent dans la presse n'a pas manqué d'y apporter des réponses. « Il y a du bon dans nos rangs. Mais comment ignorer l'existence des mauvaises pratiques. Car nous somme un segment très visible de la collectivité. Et puis ce que la liberté de parole et de critique est tout ce qui donne sens à la démocratie, notre profession peut être – et est effectivement critiquée, raillée, quelquefois vilipendée » reconnait-il.
Il poursuit en disant, « Oui, nous reconnaissons, qu'il y a des problèmes. Nous avons pleinement conscience aussi de la nécessité de trouver les solutions idoines si nous voulons éviter d'en arriver à un point de non-retour ». Ce dernier qui a exprimé toute sa reconnaissance au chef de l'Etat qui était venu présidé la cérémonie a tenu à rappeler aux pairs leur travail et à inviter les journalistes à aller à leur rencontre.
« Mes chers compatriotes le CORED est pour vous ; le tribunal des Pairs est à votre écoute pour le respect de vos droits, face à la presse, dans le respect de la liberté des acteurs des médias d'informer juste, vrai, sans aucune forme de pression. La soumission à des ordres venus d'ailleurs que de sa seule conscience professionnelle ne fait pas partie de ce que le journaliste peut ou devrait accepter » a conclu M. Mané.
Ce dernier très avisé des mauvais pratiques qui existent dans la presse n'a pas manqué d'y apporter des réponses. « Il y a du bon dans nos rangs. Mais comment ignorer l'existence des mauvaises pratiques. Car nous somme un segment très visible de la collectivité. Et puis ce que la liberté de parole et de critique est tout ce qui donne sens à la démocratie, notre profession peut être – et est effectivement critiquée, raillée, quelquefois vilipendée » reconnait-il.
Il poursuit en disant, « Oui, nous reconnaissons, qu'il y a des problèmes. Nous avons pleinement conscience aussi de la nécessité de trouver les solutions idoines si nous voulons éviter d'en arriver à un point de non-retour ». Ce dernier qui a exprimé toute sa reconnaissance au chef de l'Etat qui était venu présidé la cérémonie a tenu à rappeler aux pairs leur travail et à inviter les journalistes à aller à leur rencontre.
« Mes chers compatriotes le CORED est pour vous ; le tribunal des Pairs est à votre écoute pour le respect de vos droits, face à la presse, dans le respect de la liberté des acteurs des médias d'informer juste, vrai, sans aucune forme de pression. La soumission à des ordres venus d'ailleurs que de sa seule conscience professionnelle ne fait pas partie de ce que le journaliste peut ou devrait accepter » a conclu M. Mané.
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