Hier soir, Ousmane Sonko, leader de Pastef, avait annoncé son intention de faire une déclaration dans le quartier de Baobab, fief de son adversaire politique Barthélémy Dias. Cet appel n’est pas resté sans réponse.
Résultat : l’ambiance est électrique à Baobab. Les jeunes militants de Pastef se sont réunis dans le quartier pour afficher leur soutien à Sonko. Ils s’apprêtent à déployer trois grandes bâches aux couleurs de leur leader. Ces kakémonos, de larges banderoles verticales, arborent le visage de Sonko, symbole d’un soutien inébranlable.
Deux de ces kakémonos ont déjà été fixés dans des emplacements stratégiques. Le dernier, lui, est destiné à être attaché directement devant le siège de Barthélémy Dias, maire de Dakar, un choix significatif dans ce contexte de rivalité intense.
Pour ces jeunes militants, ce geste va au-delà d’une simple action symbolique : il incarne un acte une mobilisation : "Nous voulons montrer que notre soutien à Sonko reste intact", confie l’un d’eux, déterminé.
Sur place, notre reporter observe une présence limitée des forces de l’ordre. Seule une voiture de police a été repérée, signe que les autorités surveillent discrètement la situation sans pour autant déployer un dispositif visible.
Résultat : l’ambiance est électrique à Baobab. Les jeunes militants de Pastef se sont réunis dans le quartier pour afficher leur soutien à Sonko. Ils s’apprêtent à déployer trois grandes bâches aux couleurs de leur leader. Ces kakémonos, de larges banderoles verticales, arborent le visage de Sonko, symbole d’un soutien inébranlable.
Deux de ces kakémonos ont déjà été fixés dans des emplacements stratégiques. Le dernier, lui, est destiné à être attaché directement devant le siège de Barthélémy Dias, maire de Dakar, un choix significatif dans ce contexte de rivalité intense.
Pour ces jeunes militants, ce geste va au-delà d’une simple action symbolique : il incarne un acte une mobilisation : "Nous voulons montrer que notre soutien à Sonko reste intact", confie l’un d’eux, déterminé.
Sur place, notre reporter observe une présence limitée des forces de l’ordre. Seule une voiture de police a été repérée, signe que les autorités surveillent discrètement la situation sans pour autant déployer un dispositif visible.
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