Cela fait près de trois semaines que 130 candidats à l'immigration clandestine sont portés disparus. Leur embarcation a quitté les îles du Saloum, plus précisément Bassoul. Selon les témoignages de Fatou Ndong, à bord de cette pirogue, se trouvaient des femmes et des mineurs.
Aujourd'hui, les habitants de Bassoul et des environs lancent un cri du cœur à l'État. Sur les ondes de la RFM, l'habitante de Bassoul a déclaré : « Ils ont quitté Bassoul le 20 octobre. Et depuis cette date, nous sommes sans nouvelles de cette embarcation. Je ne connais pas le nombre exact de personnes à bord, mais on parle de 130 personnes, hommes, femmes et enfants. »
Toujours selon Fatou Ndong, sa propre fille faisait partie de ces voyageurs clandestins. « Comme vous pouvez l’imaginer, nous sommes dans le désarroi. L'attente devient insupportable, car cela fait déjà presque trois semaines, depuis le 20 octobre. »
De son côté, Boubacar Seye, de l'ONG Horizon sans frontières, propose la création d'une commission nationale chargée des questions migratoires. Selon lui, c'est la seule manière de réduire, voire d'arrêter, cette migration clandestine.
Aujourd'hui, les habitants de Bassoul et des environs lancent un cri du cœur à l'État. Sur les ondes de la RFM, l'habitante de Bassoul a déclaré : « Ils ont quitté Bassoul le 20 octobre. Et depuis cette date, nous sommes sans nouvelles de cette embarcation. Je ne connais pas le nombre exact de personnes à bord, mais on parle de 130 personnes, hommes, femmes et enfants. »
Toujours selon Fatou Ndong, sa propre fille faisait partie de ces voyageurs clandestins. « Comme vous pouvez l’imaginer, nous sommes dans le désarroi. L'attente devient insupportable, car cela fait déjà presque trois semaines, depuis le 20 octobre. »
De son côté, Boubacar Seye, de l'ONG Horizon sans frontières, propose la création d'une commission nationale chargée des questions migratoires. Selon lui, c'est la seule manière de réduire, voire d'arrêter, cette migration clandestine.
Autres articles
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24
-
Vote de budget 2025 à l'Assemblée nationale : voici les ministères qui passeront devant la commission ce dimanche