Benno bokk yakaar (Bby) n’a pas tardé à porter la réplique à l’opposition réunie au sein du C25 qui avait appelé à empêcher au Président Macky Sall de battre campagne. Selon les partisans de la coalition au pouvoir, l’opposition ne joue pas franc-jeu.
«Il y a chez cette opposition une mauvaise foi et une misère intellectuelle manifeste qui jurent d'avec le bon sens et l'esprit républicain. En effet, comment les recalés à l'examen du parrainage peuvent-ils sans sourciller, regarder les admis, au nombre de quatre parmi eux et accuser le CC d'avoir aidé ces derniers à passer ? Comment ceux-ci peuvent-ils accepter d'être ainsi accusés par leurs collègues d'avoir triché à cet examen, avec l'aide du CC sans daigner réagir face une telle injure ? C'est là un manque de probité intellectuelle de courage et de dignité face à des gens qui n'ont pas plus de mérite qu'eux. », lit-on dans le document parvenu à PressAfrik.
A en croire les partisans du Président Sall, l'opposition, «après s'être déployée pour le (parrainage) réussir, devant l'autorité judiciaire en charge de valider les candidatures conformes aux normes édictées, qu’après être allée jusqu'à la formulation de recours devant cette autorité, se retourne contre celle-ci pour l'accuser de partialité, l'accabler d'injures et déchirer ses décisions largement motivées, sur la base du droit et en vertu des pouvoirs qui lui sont conférés par la Constitution ». Ce qui les amène à dire que «c'est à la fois manquer de fair-play et violer la légalité à partir de laquelle, ils ont posé tous leurs actes du début à la fin du processus du parrainage.»
Quid des accusions portées contre le Président Sall d’avoir des velléités de confisquer les vote, ce ne sont que pure construction de l’esprit et ce, après avoir rejeté les appels au dialogue qui leur ont été pourtant lancés informent-ils.
«Il y a chez cette opposition une mauvaise foi et une misère intellectuelle manifeste qui jurent d'avec le bon sens et l'esprit républicain. En effet, comment les recalés à l'examen du parrainage peuvent-ils sans sourciller, regarder les admis, au nombre de quatre parmi eux et accuser le CC d'avoir aidé ces derniers à passer ? Comment ceux-ci peuvent-ils accepter d'être ainsi accusés par leurs collègues d'avoir triché à cet examen, avec l'aide du CC sans daigner réagir face une telle injure ? C'est là un manque de probité intellectuelle de courage et de dignité face à des gens qui n'ont pas plus de mérite qu'eux. », lit-on dans le document parvenu à PressAfrik.
A en croire les partisans du Président Sall, l'opposition, «après s'être déployée pour le (parrainage) réussir, devant l'autorité judiciaire en charge de valider les candidatures conformes aux normes édictées, qu’après être allée jusqu'à la formulation de recours devant cette autorité, se retourne contre celle-ci pour l'accuser de partialité, l'accabler d'injures et déchirer ses décisions largement motivées, sur la base du droit et en vertu des pouvoirs qui lui sont conférés par la Constitution ». Ce qui les amène à dire que «c'est à la fois manquer de fair-play et violer la légalité à partir de laquelle, ils ont posé tous leurs actes du début à la fin du processus du parrainage.»
Quid des accusions portées contre le Président Sall d’avoir des velléités de confisquer les vote, ce ne sont que pure construction de l’esprit et ce, après avoir rejeté les appels au dialogue qui leur ont été pourtant lancés informent-ils.
Autres articles
-
Elections législatives : le CNRA invite les médias à faire preuve de professionnalisme
-
Matam : aucun bureau de vote délocalisé pour les législatives, assure le gouverneur
-
Elections législatives : RSF appelle aux futurs députés à voter "des lois historiques pour restaurer la liberté de la presse au Sénégal"
-
Propos supposés diffamatoires : Mame Boye Diao sert une citation directe à Adama Faye
-
Élections législatives : 94,02 % des cartes d’électeurs ne sont pas encore retirées (ministère de l'Intérieur)