Sur le plan de la santé les experts ont noté un «nombre important de personnes exclues des soins dans les banlieues et en milieu rural. Ils ont aussi attiré l’attention sur le fait qu’il n’existe qu’un seul hôpital spécialisé pour enfants au Sénégal. Cette enquête a montré que les problèmes de la santé sont liés au fait que «les progrès en couverture vaccinale sont inégaux selon les régions». Le constat est que frais de consultation et de médicaments augmentent les difficultés d’accès aux soins des enfants des familles les plus pauvres. «La prévalence de la malnutrition reste plus élevée en zone rurale» ont –ils soutenu.
Quant à l’éducation, le premier constat est qu’il «existe des disparités significatives dans les taux de scolarisation, d’achèvement de l’éducation primaire, de parité et du genre». Mais les difficultés ne se résument pas qu’à cela car il y a aussi une importante disparité entre le milieu rural et urbain en termes de fréquentation scolaire régional. Ces derniers ont souligné «un manque d’intérêt pour l’éducation causé par le faible niveau de scolarité des parents et les préférences parentales pour l’éducation non formelle traditionnelle».
Pour résoudre les difficultés liées à l’éducation, les experts ont demandé à ce la politique de l’Etat consistant à allouer une part importante du budget à l’éducation se poursuive. Ils ont aussi suggéré à ce que les programmes d’appui à l’éducation soient renforcés. Sur le plan de la santé, parmi les solutions proposées il y a «le renforcement, la construction d’hôpitaux publics, de centres de santé, de postes de santé et de cases de santé». Enfin, ils ont conseillé la poursuite des campagnes de vaccination et construire des hôpitaux spécialisés pour enfants en dehors de Dakar.
Quant à l’éducation, le premier constat est qu’il «existe des disparités significatives dans les taux de scolarisation, d’achèvement de l’éducation primaire, de parité et du genre». Mais les difficultés ne se résument pas qu’à cela car il y a aussi une importante disparité entre le milieu rural et urbain en termes de fréquentation scolaire régional. Ces derniers ont souligné «un manque d’intérêt pour l’éducation causé par le faible niveau de scolarité des parents et les préférences parentales pour l’éducation non formelle traditionnelle».
Pour résoudre les difficultés liées à l’éducation, les experts ont demandé à ce la politique de l’Etat consistant à allouer une part importante du budget à l’éducation se poursuive. Ils ont aussi suggéré à ce que les programmes d’appui à l’éducation soient renforcés. Sur le plan de la santé, parmi les solutions proposées il y a «le renforcement, la construction d’hôpitaux publics, de centres de santé, de postes de santé et de cases de santé». Enfin, ils ont conseillé la poursuite des campagnes de vaccination et construire des hôpitaux spécialisés pour enfants en dehors de Dakar.
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