Un professeur sous l’anonymat, a indiqué que : «Depuis un mois, chaque jour, au moins dix filles piquent une crise dans ce collège. C’est une situation qui nous dépasse». Diallo, professeur dans le collège de Coubalan, a souligné que des lieux de culte existent dans la presque totalité des villages diola de la Casamance. Selon ses dires, les élèves pensent que, la proximité de l’endroit avec les collèges, est la cause des nombreuses crises d’hystérie notées dans leur établissement. Ainsi, ils ont décrété 48 heures de grève pour demander à leurs parents de déloger ce fétiche.
Mais de l’avis de certains parents d’élèves interpellés sur la question, ce sont de graves accusations car soutiennent-ils: «Ce lieu de culte a toujours existé dans le village de Coubalan depuis sa création. Et, c’est maintenant que les élèves pointent du doigt l’endroit, qui selon eux, est à l’origine de la série de crises des jeunes collégiennes. C’est archifaux ». Ces parents notent que «le collège est construit ici depuis bientôt une dizaine d’années et c’est la première fois qu’on assiste à ce phénomène dans le village. Ces crises d’hystérie n’ont jamais été vues dans notre village», a indiqué Malang Goudiaby, notable du village.
Mais de l’avis de certains parents d’élèves interpellés sur la question, ce sont de graves accusations car soutiennent-ils: «Ce lieu de culte a toujours existé dans le village de Coubalan depuis sa création. Et, c’est maintenant que les élèves pointent du doigt l’endroit, qui selon eux, est à l’origine de la série de crises des jeunes collégiennes. C’est archifaux ». Ces parents notent que «le collège est construit ici depuis bientôt une dizaine d’années et c’est la première fois qu’on assiste à ce phénomène dans le village. Ces crises d’hystérie n’ont jamais été vues dans notre village», a indiqué Malang Goudiaby, notable du village.
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