Les avocats de l'ancien ministre de l'Énergie sous le président Wade, Samuel Sarr, à savoir Me Baboucar Cissé, Me Cheikh Ahmadou Ndiaye et Me Dionewar Soumaré, ont pris la parole ce jeudi 28 novembre pour dénoncer le placement sous mandat de dépôt de leur client.
« Notre client, Monsieur Samuel Sarr, vient d’être placé sous mandat de dépôt après plusieurs jours de garde à vue et un retour du dossier au parquet. Nous tenons à informer l’opinion publique nationale et internationale qu’aucun fait de détournement ou de malversation ne pourra lui être imputé au regard du dossier. Monsieur Samuel Sarr est poursuivi pour le délit d’abus de biens sociaux sur des bases erronées », ont déclaré les avocats.
Les défenseurs de l’ex-ministre ont ajouté que leur client avait fourni des preuves solides concernant sa gestion et ont fermement rejeté le verdict, affirmant que son arrestation reposait sur des motivations politiques. « Au cours de l’enquête, Monsieur Sarr a produit un dossier composé de 39 pièces justifiant sa gestion saine et rigoureuse de la société West African Energy. Cela est incontestable. Nous affirmons que notre client est envoyé en prison pour des raisons purement politiques, qui n’ont rien à voir avec sa gestion de WAE. C'est une commande politique qui a été exécutée contre Monsieur Samuel Sarr », ont-ils précisé.
Pour le Collectif des avocats de la défense, « l'objectif visé était de l’envoyer en prison pour l'écarter de la gestion de WAE, dont il est à la fois Directeur général et actionnaire. D’ailleurs, nous avons appris qu’une nouvelle Direction générale sera mise en place la semaine prochaine au sein de WAE. »
« Notre client, Monsieur Samuel Sarr, vient d’être placé sous mandat de dépôt après plusieurs jours de garde à vue et un retour du dossier au parquet. Nous tenons à informer l’opinion publique nationale et internationale qu’aucun fait de détournement ou de malversation ne pourra lui être imputé au regard du dossier. Monsieur Samuel Sarr est poursuivi pour le délit d’abus de biens sociaux sur des bases erronées », ont déclaré les avocats.
Les défenseurs de l’ex-ministre ont ajouté que leur client avait fourni des preuves solides concernant sa gestion et ont fermement rejeté le verdict, affirmant que son arrestation reposait sur des motivations politiques. « Au cours de l’enquête, Monsieur Sarr a produit un dossier composé de 39 pièces justifiant sa gestion saine et rigoureuse de la société West African Energy. Cela est incontestable. Nous affirmons que notre client est envoyé en prison pour des raisons purement politiques, qui n’ont rien à voir avec sa gestion de WAE. C'est une commande politique qui a été exécutée contre Monsieur Samuel Sarr », ont-ils précisé.
Pour le Collectif des avocats de la défense, « l'objectif visé était de l’envoyer en prison pour l'écarter de la gestion de WAE, dont il est à la fois Directeur général et actionnaire. D’ailleurs, nous avons appris qu’une nouvelle Direction générale sera mise en place la semaine prochaine au sein de WAE. »
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