«La Gambie nous avait proposé vers la fin du mois d’avril de nouvelles dates les 5 et 6 mai mais en changeant de lieu de réunion en proposant que la réunion se tienne à Banjul mais nous avions convenu que la réunion se tienne à Dakar. Nous maintenons cette position de les accueillir à Dakar,…», assure le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur.
Mankeur Ndiaye de préciser à cet effet : «Nous ne nous sommes pas entendus sur le lieu de la réunion. Nous en sommes à ce stade-là». Ainsi donc entre le Sénégal et la Gambie, on est très loin des déclarations pour pacifier les rapports. Pour tenter de lever les obstacles, les autorités des deux (2) parties devaient se rencontrer à Dakar. «Nous allons étudier la proposition de date que la Gambie vient de nous soumettre il y a deux ou trois jours. Très certainement, nous allons nous retrouver ici à Dakar, peut-être dans la semaine», annonçait Mankeur Ndiaye, en marge d’une cérémonie de signature d’un accord de défense entre les Etats-Unis d’Amérique et le Sénégal.
Dans ce sillage, «nous savons tous que ce qui se passe avec la transgambienne est anormale. Cela a un impact économique pour les deux parties. Cette situation n’est ni profitable à la Gambie, ni au Sénégal et aujourd’hui, les dégâts sont énormes. Aujourd’hui, on espère trouver une solution le plus rapidement possible pour décanter la situation», déclarait Abdoulie Jobe, le ministre du Commerce Gambien présent à Dakar pour les besoins de l’ouverture du forum international sur le financement, la promotion des PME et de l’entreprenariat, ce mois d’avril.
Une voie dont on est encore loin, faute de consensus sur le lieu où tenir la réunion. Ce, au moment où les transporteurs sénégalais campent sur leurs positions. Il n’est pas question selon Gora Khouma et Cie de lever le blocus. Tout est parti de la décision unilatérale de la Gambie d’augmenter de 4.000 à 400.000 F CFA les droits de passage sur le fleuve Gambie.
Mankeur Ndiaye de préciser à cet effet : «Nous ne nous sommes pas entendus sur le lieu de la réunion. Nous en sommes à ce stade-là». Ainsi donc entre le Sénégal et la Gambie, on est très loin des déclarations pour pacifier les rapports. Pour tenter de lever les obstacles, les autorités des deux (2) parties devaient se rencontrer à Dakar. «Nous allons étudier la proposition de date que la Gambie vient de nous soumettre il y a deux ou trois jours. Très certainement, nous allons nous retrouver ici à Dakar, peut-être dans la semaine», annonçait Mankeur Ndiaye, en marge d’une cérémonie de signature d’un accord de défense entre les Etats-Unis d’Amérique et le Sénégal.
Dans ce sillage, «nous savons tous que ce qui se passe avec la transgambienne est anormale. Cela a un impact économique pour les deux parties. Cette situation n’est ni profitable à la Gambie, ni au Sénégal et aujourd’hui, les dégâts sont énormes. Aujourd’hui, on espère trouver une solution le plus rapidement possible pour décanter la situation», déclarait Abdoulie Jobe, le ministre du Commerce Gambien présent à Dakar pour les besoins de l’ouverture du forum international sur le financement, la promotion des PME et de l’entreprenariat, ce mois d’avril.
Une voie dont on est encore loin, faute de consensus sur le lieu où tenir la réunion. Ce, au moment où les transporteurs sénégalais campent sur leurs positions. Il n’est pas question selon Gora Khouma et Cie de lever le blocus. Tout est parti de la décision unilatérale de la Gambie d’augmenter de 4.000 à 400.000 F CFA les droits de passage sur le fleuve Gambie.
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