Abordant la nouvelle date de l'élection présidentielle, monsieur Camara reste catégorique. Pour l'ancien soldat de l'économie, il ne fait l'ombre d'aucun doute. Ce qui s'impose en ce moment, la tenue du scrutin. "Le bissap est tiré, il faut le boire. A l'heure où sommes , il faut qu'il y ait une élection parce que c'est un impératif dans un Etat de droit. Sinon, nous nous dirigeons vers un recul démocratique. Malgré les imperfections, il faut aller aux élections. C'est pourquoi nous avons accepté tous les sacrifices pour un Etat de droit" s'est résigné l'ancien directeur général des douanes.
A la question si l'on aura une élection inclusive, l'ancien directeur général des douanes de répondre, " on ne peut plus parler d'une élection inclusive. C'est raté. Puisque des gens lésés et sur ce, on ne peut plus revenir en arrière. Certains ont subi de véritables injustices parce que spoliés. On ne peut venir avec une clé dans laquelle, il y a tous tes parrains et qu'on te dise la clé n'est pas fonctionnelle. Le cas Karim Wade également est édifiant, puisqu'au moment où il est accusé de parjure, il avait déjà renoncé à sa nationalité française".
Toujours sur le même sujet, monsieur Camara est revenu tant soit peut sur le cas Sonko. Qui, selon lui, est le premier acte de renoncement à une élection inclusive. "Sur le cas Ousmane Sonko, je me suis toujours battu pour ses droits. C'est quelqu'un à qui on a causé un tort. Il a été accusé de tous les noms et de n'importe quoi" a-t-il fait savoir.
A la question si l'on aura une élection inclusive, l'ancien directeur général des douanes de répondre, " on ne peut plus parler d'une élection inclusive. C'est raté. Puisque des gens lésés et sur ce, on ne peut plus revenir en arrière. Certains ont subi de véritables injustices parce que spoliés. On ne peut venir avec une clé dans laquelle, il y a tous tes parrains et qu'on te dise la clé n'est pas fonctionnelle. Le cas Karim Wade également est édifiant, puisqu'au moment où il est accusé de parjure, il avait déjà renoncé à sa nationalité française".
Toujours sur le même sujet, monsieur Camara est revenu tant soit peut sur le cas Sonko. Qui, selon lui, est le premier acte de renoncement à une élection inclusive. "Sur le cas Ousmane Sonko, je me suis toujours battu pour ses droits. C'est quelqu'un à qui on a causé un tort. Il a été accusé de tous les noms et de n'importe quoi" a-t-il fait savoir.
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