Le Président du CNCR
«On n’est pas d’accord pour ces genres d’agissement par rapport aux partenaires. Tout laisse à croire qu’on veut nous imposer une organisation virtuelle qui ne peut prétendre représenter le monde rural du fait de la simple volonté de l’Etat. Le CNCR ne saurait, aujourd’hui, se laisser définir un représentant qui parle et s’engage en son nom» a signifié le Président du CNCR, Samba Guèye à l’Etat.
Ce dernier a fait savoir qu’ «il y a eu un comportement inadmissible de nos gouvernants par rapport à la société civile notamment au CNCR». Pour lui, si on veut, à travers un pacte, signer quelque chose qui engage tout le monde, en tout cas tous les acteurs qui sont dans le monde rural, il y a un minimum à faire par rapport à cela.
Le minimum c'est de se concerter, de discuter avec l’ensemble des acteurs qui gravitent autour de cela pour avoir une voix consensuelle pour essayer de définir ou de désigner l’organe ou l’organisation qui doit signer pour l’ensemble des acteurs. Samba Guèye est d’avis qu’«on ne doit pas décréter une chose comme ça pour en tout cas définir le rôle et les responsabilités de tout un chacun.
Sur la même lancée, Abdoul Aziz Badji de la Fédération des ONG du Sénégal (FONGS) de Ziguinchor de laisser entendre: «je suis désagréablement surpris de voir un mouvement en construction qui n’est pas encore légal, qui est dit provisoire prendre un engagement aussi important à côté des gens qui sont légalement reconnu par l’Etat.
Les membres du CNCR ont indiqué qu’il est révolu le temps où l’Etat se donnait les prérogatives de choisir les modèles d’organisation paysans». Selon eux, il est triste pour un pays comme le Sénégal, qui a servi de modèle partout en Afrique grâce à ses capacités d’auto organisation en milieu rural, d’en arriver à l’application obscurantiste de la pensée unique.
Ce dernier a fait savoir qu’ «il y a eu un comportement inadmissible de nos gouvernants par rapport à la société civile notamment au CNCR». Pour lui, si on veut, à travers un pacte, signer quelque chose qui engage tout le monde, en tout cas tous les acteurs qui sont dans le monde rural, il y a un minimum à faire par rapport à cela.
Le minimum c'est de se concerter, de discuter avec l’ensemble des acteurs qui gravitent autour de cela pour avoir une voix consensuelle pour essayer de définir ou de désigner l’organe ou l’organisation qui doit signer pour l’ensemble des acteurs. Samba Guèye est d’avis qu’«on ne doit pas décréter une chose comme ça pour en tout cas définir le rôle et les responsabilités de tout un chacun.
Sur la même lancée, Abdoul Aziz Badji de la Fédération des ONG du Sénégal (FONGS) de Ziguinchor de laisser entendre: «je suis désagréablement surpris de voir un mouvement en construction qui n’est pas encore légal, qui est dit provisoire prendre un engagement aussi important à côté des gens qui sont légalement reconnu par l’Etat.
Les membres du CNCR ont indiqué qu’il est révolu le temps où l’Etat se donnait les prérogatives de choisir les modèles d’organisation paysans». Selon eux, il est triste pour un pays comme le Sénégal, qui a servi de modèle partout en Afrique grâce à ses capacités d’auto organisation en milieu rural, d’en arriver à l’application obscurantiste de la pensée unique.
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