Un habitant déplace ses effets personnels du quartier de Mpila, touché dimanche 4 mars par une série d'explosions dans une dépôt de munitions. REUTERS/Jonny Hogg
Dans le quartier de Mpila à Brazzaville, les démineurs travaillent sans relâche pour délimiter les zones dangereuses et informer la population. La dépollution du site prendra du temps, sans doute des mois. Si la situation est toujours difficile pour les 13 000 sinistrés réfugiés dans les centres d’accueil, dans les hôpitaux, les choses se règlent petit à petit.
L’aide internationale a permis de soigner, d’opérer un grand nombre de blessés dans des conditions difficiles. Au CHU, l’un des coordinateurs de l’équipe française raconte les longues journées de travail dans un hôpital sans eau courante sans eau courante où il faut se débrouiller pour nettoyer et adapter les blogs opératoires. Conséquence de ces conditions ou non, l’entreprise chinoise qui a perdu 8 ouvriers a décidé d’évacuer 31 blessés à Pékin.
Non loin de l’hôpital sur un terrain des services funéraires, des dizaines de menuisiers s’activent : ils sont chargés de construire en un temps record les 200 cercueils des victimes : les coffres sont en bois rouge, joliment finis. Ce dimanche après la messe et l’hommage solennel devant l’esplanade du Palais des congrès en présence du chef de l’Etat, ces hommes, ces femmes, ces enfants décédés seront inhumés dans le cimetière du centre-ville. Là aussi des équipes travaillent nuit et jour pour construire les tombes.
Source: RFI
L’aide internationale a permis de soigner, d’opérer un grand nombre de blessés dans des conditions difficiles. Au CHU, l’un des coordinateurs de l’équipe française raconte les longues journées de travail dans un hôpital sans eau courante sans eau courante où il faut se débrouiller pour nettoyer et adapter les blogs opératoires. Conséquence de ces conditions ou non, l’entreprise chinoise qui a perdu 8 ouvriers a décidé d’évacuer 31 blessés à Pékin.
Non loin de l’hôpital sur un terrain des services funéraires, des dizaines de menuisiers s’activent : ils sont chargés de construire en un temps record les 200 cercueils des victimes : les coffres sont en bois rouge, joliment finis. Ce dimanche après la messe et l’hommage solennel devant l’esplanade du Palais des congrès en présence du chef de l’Etat, ces hommes, ces femmes, ces enfants décédés seront inhumés dans le cimetière du centre-ville. Là aussi des équipes travaillent nuit et jour pour construire les tombes.
Source: RFI
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