Scène de panique ce mercredi matin 8 janvier dans un quartier périphérique de Ouagadougou. Une grenade a explosé entre les mains d’un élève en pleine classe une école franco-arabe selon les autorités. Quatre élèves blessés, dont deux dans un état « grave ».
Les blessés ont été évacués dans un centre de santé pour des soins. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances de la présence d’un engin explosif entre les mains d’une élève.
Il était 7H30, comme tous les matins, l’enseignant fait entrer ses élèves en classe. Après les salutations d’usage, commence la leçon du jour. Un élève est invité à lire ce qui est inscrit sur le tableau. À peine a-t-il a commencé qu’un bruit assourdissant retenti.
Selon un enseignant de l’école, l’explosion est venue de l’intérieur de la classe. « Je venais de faire rentrer mes élèves quand j’ai entendu l’explosion », explique-t-il.
Sur les murs et les tables de la salle de classe, on pouvait voir les traces de sang et les sacs d’écoliers éparpillés. Pris de peur, les autres responsables des écoles du quartier avaient fermé leurs établissements.
« C’est un engin explosif manipulé par un enfant », affirme le maire de la commune de Ouagadougou venu sur les lieux. D’où cela pourrait venir et qu’est-ce qui s’est passé réellement ? À ces questions, Armand Beouindé préfère attendre les résultats de l’enquête. Un dispositif sécuritaire s’est mis en place. La police scientifique a déployé ses équipes sur le terrain et tout l’établissement a été passé au peigne fin.
Les blessés ont été évacués dans un centre de santé pour des soins. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances de la présence d’un engin explosif entre les mains d’une élève.
Il était 7H30, comme tous les matins, l’enseignant fait entrer ses élèves en classe. Après les salutations d’usage, commence la leçon du jour. Un élève est invité à lire ce qui est inscrit sur le tableau. À peine a-t-il a commencé qu’un bruit assourdissant retenti.
Selon un enseignant de l’école, l’explosion est venue de l’intérieur de la classe. « Je venais de faire rentrer mes élèves quand j’ai entendu l’explosion », explique-t-il.
Sur les murs et les tables de la salle de classe, on pouvait voir les traces de sang et les sacs d’écoliers éparpillés. Pris de peur, les autres responsables des écoles du quartier avaient fermé leurs établissements.
« C’est un engin explosif manipulé par un enfant », affirme le maire de la commune de Ouagadougou venu sur les lieux. D’où cela pourrait venir et qu’est-ce qui s’est passé réellement ? À ces questions, Armand Beouindé préfère attendre les résultats de l’enquête. Un dispositif sécuritaire s’est mis en place. La police scientifique a déployé ses équipes sur le terrain et tout l’établissement a été passé au peigne fin.
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