Dans cette CAN 2022 avec 24 équipes au premier tour, comme en 2019, il suffit de terminer à l'une des deux premières places de son groupe ou de se classer parmi les quatre meilleurs troisièmes pour se qualifier pour les huitièmes de finale. Avec trois points au compteur, c'est presque dans la poche : lors de la précédente édition, seul le Kenya n'avait pas passé le premier tour malgré ses trois points marqués. Mais il est vrai aussi que les Kényans accusaient une différence de buts de -4.
Bien sûr, rien n'est encore acquis mathématiquement. Mais avec sa victoire contre le Burkina Faso le 9 décembre (2-1), le Cameroun a déjà fait un pas important vers la phase à élimination directe. Une victoire contre l'Éthiopie, son prochain adversaire mercredi, lui ouvrira en grands les portes des huitièmes de finale. C'est donc un Samuel Oum Gouet souriant qui s'est présenté en conférence de presse au stade d'Olembé, à la veille du deuxième match de sa sélection.
Bulle sanitaire et zéro visite
Si plusieurs équipes ont dû composer avec des absences liées au Covid-19 depuis le début de la compétition, le Cameroun a été épargné jusqu'à présent. Pour celui qui porte le n°14, c'est le résultat d'un protocole sanitaire strict : « On est dans une bulle où on essaye de respecter le maximum de règles. On ne reçoit pas de visites, on ne peut même pas voir nos familles. » Toni Conceiçao, le sélectionneur, regrette également que ses Lions indomptables soient à ce point isolés, coupés de leurs proches et de leurs supporters. Le technicien portugais s'adapte, en ces temps de pandémie.
Mais aux yeux de Samuel Oum Gouet, cette bulle sanitaire ne doit pas être l'excuse au début de match « crispé » des Camerounais contre les Étalons. « C'est un match de football, et un match de football a ses réalités. On n'entre pas dedans avec de l'euphorie. Il faut se préparer, respecter l'adversaire surtout, et jouer en fonction de l'adversaire en face. »
Tout pour le foot, rien d'autre
« Le fait d'avoir encaissé le premier but, honnêtement, n'est pas lié à la crispation ou à quoi que ce soit. C'est un scénario qui peut arriver. On peut être mené, mener, se faire rattraper au score... Ça fait partie du sport. On a été mené et on a su remonter. On a montré qu'on avait le caractère pour. C'est le plus important », poursuit le milieu de terrain de Malines, en Belgique.
Certes, pour beaucoup de jeunes joueurs, il s'agit de la première CAN avec l'équipe nationale A. Mais l'expérience des CAN disputées avec les moins de 23 ans et avec les moins de 20 ans n'est pas négligeable, surtout quand il faut gérer la pression particulière d'une compétition continentale jouée à domicile. « Comment on gère la pression ? Pour moi, et je crois pour les autres joueurs aussi, on la gère en gardant les yeux, la tête et le cœur sur le football. Pas besoin de regarder ailleurs, non : on joue juste au foot », martèle Samuel Oum Gouet. Mise en pratique attendue dès mercredi face aux Walya.
Bien sûr, rien n'est encore acquis mathématiquement. Mais avec sa victoire contre le Burkina Faso le 9 décembre (2-1), le Cameroun a déjà fait un pas important vers la phase à élimination directe. Une victoire contre l'Éthiopie, son prochain adversaire mercredi, lui ouvrira en grands les portes des huitièmes de finale. C'est donc un Samuel Oum Gouet souriant qui s'est présenté en conférence de presse au stade d'Olembé, à la veille du deuxième match de sa sélection.
Bulle sanitaire et zéro visite
Si plusieurs équipes ont dû composer avec des absences liées au Covid-19 depuis le début de la compétition, le Cameroun a été épargné jusqu'à présent. Pour celui qui porte le n°14, c'est le résultat d'un protocole sanitaire strict : « On est dans une bulle où on essaye de respecter le maximum de règles. On ne reçoit pas de visites, on ne peut même pas voir nos familles. » Toni Conceiçao, le sélectionneur, regrette également que ses Lions indomptables soient à ce point isolés, coupés de leurs proches et de leurs supporters. Le technicien portugais s'adapte, en ces temps de pandémie.
Mais aux yeux de Samuel Oum Gouet, cette bulle sanitaire ne doit pas être l'excuse au début de match « crispé » des Camerounais contre les Étalons. « C'est un match de football, et un match de football a ses réalités. On n'entre pas dedans avec de l'euphorie. Il faut se préparer, respecter l'adversaire surtout, et jouer en fonction de l'adversaire en face. »
Tout pour le foot, rien d'autre
« Le fait d'avoir encaissé le premier but, honnêtement, n'est pas lié à la crispation ou à quoi que ce soit. C'est un scénario qui peut arriver. On peut être mené, mener, se faire rattraper au score... Ça fait partie du sport. On a été mené et on a su remonter. On a montré qu'on avait le caractère pour. C'est le plus important », poursuit le milieu de terrain de Malines, en Belgique.
Certes, pour beaucoup de jeunes joueurs, il s'agit de la première CAN avec l'équipe nationale A. Mais l'expérience des CAN disputées avec les moins de 23 ans et avec les moins de 20 ans n'est pas négligeable, surtout quand il faut gérer la pression particulière d'une compétition continentale jouée à domicile. « Comment on gère la pression ? Pour moi, et je crois pour les autres joueurs aussi, on la gère en gardant les yeux, la tête et le cœur sur le football. Pas besoin de regarder ailleurs, non : on joue juste au foot », martèle Samuel Oum Gouet. Mise en pratique attendue dès mercredi face aux Walya.
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