Le président de l'Ordre National des pharmaciens du Sénégal, Dr Cheikhou Oumar Dia
Une tentative de cambriolage de la pharmacie «Actuel» s’est soldée par la mort d’un jeune homme et une blessure par balle d’une jeune fille au genou. Cela s’est passé au canal 4 qui se trouve au quartier Gueule Tapée. Ce meurtre a plongé tout un quartier dans l’émoi et créé un début de psychose.
Une riveraine qui a préféré garder l’anonymat n’en revient pas. Elle est non seulement attristée, mais surtout habitée par la peur. Elle a révélé que «les victimes de ces cambrioleurs sont un couple qui revenait d’une soirée et qui a eu la malchance de tomber sur ces voleurs. L’homme a été abattu alors que la jeune femme s’en est tirée avec une blessure par balle au genou».
Ces affirmations de la riveraine sont corroborées par celles de Djiby Ndiaye. Ce dernier n’a pas trouvé de mots pour dénoncer cette extrême violence digne des scènes que l’on voit à Harlem ou dans le Bronx aux USA. Le monsieur demande à l’Etat, qui est garant de la sécurité des personnes et des biens, de réagir en prenant des mesures plus coercitives et plus draconiennes à l’encontre des malfaiteurs et assassins. Djiby Ndiaye a aussi exhorté les pharmaciens à la mobilisation pour faire face à cette série de cambriolages et de vols dont ils sont régulièrement victimes.
L’ordre national des pharmaciens du Sénégal a toujours dénoncé les cambriolages et les vols à mains armées dont ils sont régulièrement victimes et qui sont souvent suivis de mort d’homme. Il a, lors de leurs journées pharmaceutiques nationales qui s’étaient déroulées au mois de juin dernier à Mbour, décrié le mutisme de l’Etat sur la situation que vivent les pharmacies du Sénégal. L’ordre n’a de cesse de solliciter la sécurité et la protection de l’Etat dans leurs officines.
Le président de l’Ordre national des pharmaciens, le Dr Cheikhou Oumar Dia, avait déploré les récurrents cambriolages dont ils sont victimes «au moins, plus de 100 cambriolages ont été commis durant ces deux dernières années», a-t-il révélé.
Les pharmaciens ont toujours indexé «Keur Serigne BI (lieu de vente illicite de médicaments)» qu’ils accusent de manœuvrer avec les malfrats. Ce lieu qui se situe en plein cœur de Dakar, plus précisément sur l’avenue Blaise Diagne est, selon eux, réputé être un «réseau mafieux» dans la vente illicite de médicaments volés ou de contrefaçons.
Une riveraine qui a préféré garder l’anonymat n’en revient pas. Elle est non seulement attristée, mais surtout habitée par la peur. Elle a révélé que «les victimes de ces cambrioleurs sont un couple qui revenait d’une soirée et qui a eu la malchance de tomber sur ces voleurs. L’homme a été abattu alors que la jeune femme s’en est tirée avec une blessure par balle au genou».
Ces affirmations de la riveraine sont corroborées par celles de Djiby Ndiaye. Ce dernier n’a pas trouvé de mots pour dénoncer cette extrême violence digne des scènes que l’on voit à Harlem ou dans le Bronx aux USA. Le monsieur demande à l’Etat, qui est garant de la sécurité des personnes et des biens, de réagir en prenant des mesures plus coercitives et plus draconiennes à l’encontre des malfaiteurs et assassins. Djiby Ndiaye a aussi exhorté les pharmaciens à la mobilisation pour faire face à cette série de cambriolages et de vols dont ils sont régulièrement victimes.
L’ordre national des pharmaciens du Sénégal a toujours dénoncé les cambriolages et les vols à mains armées dont ils sont régulièrement victimes et qui sont souvent suivis de mort d’homme. Il a, lors de leurs journées pharmaceutiques nationales qui s’étaient déroulées au mois de juin dernier à Mbour, décrié le mutisme de l’Etat sur la situation que vivent les pharmacies du Sénégal. L’ordre n’a de cesse de solliciter la sécurité et la protection de l’Etat dans leurs officines.
Le président de l’Ordre national des pharmaciens, le Dr Cheikhou Oumar Dia, avait déploré les récurrents cambriolages dont ils sont victimes «au moins, plus de 100 cambriolages ont été commis durant ces deux dernières années», a-t-il révélé.
Les pharmaciens ont toujours indexé «Keur Serigne BI (lieu de vente illicite de médicaments)» qu’ils accusent de manœuvrer avec les malfrats. Ce lieu qui se situe en plein cœur de Dakar, plus précisément sur l’avenue Blaise Diagne est, selon eux, réputé être un «réseau mafieux» dans la vente illicite de médicaments volés ou de contrefaçons.
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