Le Sénégal à l’instar de la communauté internationale célèbre la journée mondiale contre le cancer ce mardi 04 février 2014. Thème retenu cette année : « Halte aux idées reçues ; combattre les préjugés ». Le cancer fait beaucoup moins parler de lui pourtant il tue plus que les guerres et autres catastrophes naturelles. Aujourd'hui il constitue encore la première cause de mortalité dans le monde. Le cancer est un fardeau mondial qui est une des premières causes de mortalité dans le monde. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, le nombre de décès devrait passer de 7,9 millions en 2007 à 11,5 millions en 2030, soit une hausse de 45%. Les décès par cancer représentent 13% de l’ensemble des décès enregistrés dans le monde ; parmi lesquels 72% surviennent dans les pays en voie de développement.
Les données quant à la survie des patients souffrant de cancer en Afrique sont rares et parcellaires. Les publications existantes proviennent de l’Ouganda (Kampala) et du Zimbabwe (Harare); elles montrent que la survie à 5 ans de patients africains est inférieure à celle des patients souffrant des mêmes types de cancer et habitant les USA. Cette survie des patients est corrélée entre autres au stade de la maladie au moment du diagnostic et à la qualité du traitement appliqué. Les moyens de traitements des cancers sont insuffisants dans la plupart des pays africains. Lorsqu’ils existent-ils sont d’un coût prohibitif pour les patients.
Au Sénégal, on estime que 800 nouveaux cas sont enregistrés chaque année chez les enfants contre 12 à 20.000 cas chez les adultes.
Le coût important de la prise en charge des cancers grèvent le budget des familles, des communautés et de l’Etat. L'OMS estime que le cancer aura fait 84 millions de morts entre 2005 et 2015 si aucune mesure n’est prise. Le cancer se soigne : l'intérêt de cette journée est aussi de faire prendre conscience de l'utilité d'un dépistage précoce permettant d'arriver à une guérison. C'est pour cette raison que le Ministère de la Santé et de l’Action sociale (MSAS) organise ce mardi 04 févier à 9 heures au Service National de l’Education et de l’Information pour la Santé (SNEIPS) à côté de l’hôpital général de grand Yoff « HOGGY » ex CTO, une journée de partage sous la présidence d’honneur de Madame le Ministre de la Santé et de l’Action sociale, le Professeur Awa Marie Coll Seck.
Les données quant à la survie des patients souffrant de cancer en Afrique sont rares et parcellaires. Les publications existantes proviennent de l’Ouganda (Kampala) et du Zimbabwe (Harare); elles montrent que la survie à 5 ans de patients africains est inférieure à celle des patients souffrant des mêmes types de cancer et habitant les USA. Cette survie des patients est corrélée entre autres au stade de la maladie au moment du diagnostic et à la qualité du traitement appliqué. Les moyens de traitements des cancers sont insuffisants dans la plupart des pays africains. Lorsqu’ils existent-ils sont d’un coût prohibitif pour les patients.
Au Sénégal, on estime que 800 nouveaux cas sont enregistrés chaque année chez les enfants contre 12 à 20.000 cas chez les adultes.
Le coût important de la prise en charge des cancers grèvent le budget des familles, des communautés et de l’Etat. L'OMS estime que le cancer aura fait 84 millions de morts entre 2005 et 2015 si aucune mesure n’est prise. Le cancer se soigne : l'intérêt de cette journée est aussi de faire prendre conscience de l'utilité d'un dépistage précoce permettant d'arriver à une guérison. C'est pour cette raison que le Ministère de la Santé et de l’Action sociale (MSAS) organise ce mardi 04 févier à 9 heures au Service National de l’Education et de l’Information pour la Santé (SNEIPS) à côté de l’hôpital général de grand Yoff « HOGGY » ex CTO, une journée de partage sous la présidence d’honneur de Madame le Ministre de la Santé et de l’Action sociale, le Professeur Awa Marie Coll Seck.
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