Il s’agit d’une personne de race blanche et de sexe masculin qui s’est présentée hier vendredi aux environs de 23h avec des signes fortement suspects. Selon quelques membres du personnel médical de l’hôpital Fann interrogé par nos soins, il a séjourné pendant plus de 42 jours dans un pays infecté qu’est le Libéria et qu’il présente une très forte fièvre. Seulement, il ne vomit pas et n’a pas de diarrhée. Il ne saigne pas non plus. Donc, il est suspect mais pas encore confirmé parce que des analyses sont en train d’être faites et c’est seulement après avoir obtenu les résultats d’analyse que les services de l’hôpital pourront se prononcer sérieusement s’il est véritablement atteint du virus Ebola ou pas.
Toutefois, il y a un comportement patibulaire du personnel de l’hôpital. Tous les agents du service d’urgence situé à l’intérieur du Centre de Diagnostic d’imagerie médicale sont évacués. Les lieux placés en quarantaine. Ils sont déployés aux services d’urgence situés à l’entrée. Des vigiles sont postés à tous les accès. Personne ne sort, personne n’entre. Les instructions sont claires. Toutefois, un des vigiles que nous avons interrogé a indiqué le médecin du service des maladies infectieuses était bien là tôt ce matin. Mais, il a juste fait des observations ne pouvant rien faire sans les résultats d’analyse.
L’agent qui nous a mis la puce à l’oreille est formel. C’est un cas suspect parce que dès son arrivée des dispositions particulières ont été prises et les responsables du ministère de la Santé et de la prévention médicale ont été saisis. En effet, le chef du Comité de Gestion des Epidémies, Dr Ibrahima Omar Ba a été saisi aux environs de 4h du matin. Joint par PressAfrik.com au téléphone, il a confirmé avoir été saisi d’un cas mais hésite à utiliser le terme suspect pour ne pas créer la panique au sein de la population.
Ce cas ainsi que globalement l’épidémie qui frappe à nos portes est actuellement l’objet d’une réunion au ministère de la Santé. Les autorités sanitaires prennent très au sérieux la situation et sont en train de mettre les bouchées doubles pour bloquer la porte à cette épidémie qui a déjà fait plus de 1000 morts en Afrique de l’ouest et qui suscite de sérieuses inquiétudes au niveau international.
Une équipe de PressAfrik.com est actuellement à l’hopital Fann pour guetter la moindre information qui suinterait de ce cas suspect quoiqu’on puisse dire.
Toutefois, il y a un comportement patibulaire du personnel de l’hôpital. Tous les agents du service d’urgence situé à l’intérieur du Centre de Diagnostic d’imagerie médicale sont évacués. Les lieux placés en quarantaine. Ils sont déployés aux services d’urgence situés à l’entrée. Des vigiles sont postés à tous les accès. Personne ne sort, personne n’entre. Les instructions sont claires. Toutefois, un des vigiles que nous avons interrogé a indiqué le médecin du service des maladies infectieuses était bien là tôt ce matin. Mais, il a juste fait des observations ne pouvant rien faire sans les résultats d’analyse.
L’agent qui nous a mis la puce à l’oreille est formel. C’est un cas suspect parce que dès son arrivée des dispositions particulières ont été prises et les responsables du ministère de la Santé et de la prévention médicale ont été saisis. En effet, le chef du Comité de Gestion des Epidémies, Dr Ibrahima Omar Ba a été saisi aux environs de 4h du matin. Joint par PressAfrik.com au téléphone, il a confirmé avoir été saisi d’un cas mais hésite à utiliser le terme suspect pour ne pas créer la panique au sein de la population.
Ce cas ainsi que globalement l’épidémie qui frappe à nos portes est actuellement l’objet d’une réunion au ministère de la Santé. Les autorités sanitaires prennent très au sérieux la situation et sont en train de mettre les bouchées doubles pour bloquer la porte à cette épidémie qui a déjà fait plus de 1000 morts en Afrique de l’ouest et qui suscite de sérieuses inquiétudes au niveau international.
Une équipe de PressAfrik.com est actuellement à l’hopital Fann pour guetter la moindre information qui suinterait de ce cas suspect quoiqu’on puisse dire.
Autres articles
-
Diamaguène Sicap Mbao : deux redoutables gangs d'agresseurs démantelés
-
Yeumbeul Nord : Penda K. risque gros après avoir jeté son bébé dans une fosse septique
-
Matam : trois morts et 15 blessés dans un accident de la route
-
Tragédie à Médina Baye : l’identité de la victime de l’effondrement de la dalle dévoilée
-
Arrestation et garde à vue de Samuel Sarr : un écart de deux milliards à l'origine du contentieux