Prise en otage par un conflit armé depuis l’avènement du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC), il y a maintenant près d’une trentaine d’année, la région naturelle du sud du Sénégal continue d’être victime des ravages des mines. Sur 797 personnes tuées par les mines de 1988 à 2011, 31 victimes ont été enregistrées cette année, selon le chef de la division de l’éducation au risque et de l’assistance aux victimes du Centre National d’Action Anti-Mines du Sénégal (CNAMS), Seyni Diop. M. Diop qui se confiait à l’APS ce mardi 02 août, a précisé que "le nombre des victimes a évolué, avec 31 victimes en 2011 contre 05 en 2010, en révélant que la majorité des accidents est due aux mines anti-char".
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