Ces mouvements d’hommes armés, poursuit le communiqué daté du 02 décembre, interviennent suite à un conclave autour de deux lieutenants du maquis-sud, mais en l’absence du chef de guerre César Atoute BADIATE, laissant croire à cet effet que ces mouvements ne procèderaient pas de la volonté de ce dernier et que, par conséquent, ils échapperaient à son autorité.
Pour M. Biagui, qu’Abdoulaye Baldé soit enrichi de manière légale ou licite, ou de manière illégale ou illicite, « il serait devenu un homme riche de manière licite ou illicite, pour lui-même et éventuellement pour sa famille. Mais guère pour la Casamance ». Il appelle par cette occasion, ses frères et compatriotes du maquis à se souvenir qu’ « à tout jamais, la Paix, même armée, ne peut et ne saurait s’accommoder de pratiques mafieuses, pour être la sœur-cadette de la Vérité et de la Justice ».
Le MFDC n’a pas manqué d’appeler au sens de responsabilité de toutes et de tous, à la responsabilité et à l’autorité du chef de guerre César Atoute Badiate, à un sursaut populaire et républicain, mais aussi à une prise de conscience des populations casamançaises, notamment à la mesure de la gravité que préfigurent ces mouvements d’hommes armés car dit-il, « nous n’acceptons plus que les populations casamançaises soient amenées à payer quelque tribu que ce soit, quelles qu’en soient par ailleurs les motivations, encore moins pour des considérations crypto-personnelles ou bassement personnelles ».
Pour M. Biagui, qu’Abdoulaye Baldé soit enrichi de manière légale ou licite, ou de manière illégale ou illicite, « il serait devenu un homme riche de manière licite ou illicite, pour lui-même et éventuellement pour sa famille. Mais guère pour la Casamance ». Il appelle par cette occasion, ses frères et compatriotes du maquis à se souvenir qu’ « à tout jamais, la Paix, même armée, ne peut et ne saurait s’accommoder de pratiques mafieuses, pour être la sœur-cadette de la Vérité et de la Justice ».
Le MFDC n’a pas manqué d’appeler au sens de responsabilité de toutes et de tous, à la responsabilité et à l’autorité du chef de guerre César Atoute Badiate, à un sursaut populaire et républicain, mais aussi à une prise de conscience des populations casamançaises, notamment à la mesure de la gravité que préfigurent ces mouvements d’hommes armés car dit-il, « nous n’acceptons plus que les populations casamançaises soient amenées à payer quelque tribu que ce soit, quelles qu’en soient par ailleurs les motivations, encore moins pour des considérations crypto-personnelles ou bassement personnelles ».
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